Mariage avec ou sans culotte
Datte: 28/11/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... efficace pour approcher un beau gars que de frayer avec son meilleur ami, son petit frère, son cousin. Parmi mes nombreuses tenues de noce, j'ai choisi aujourd'hui un look fashion sexy. Robe de maille fine claire, beige, presque virginale. Plutôt longue pour un style chaste, couvrante avec manches longues et col fermé, ras du cou. Mais, à part mes Dim Up, rien en dessous, pour ne pas marquer. Juste un foulard de soie Hermès à la taille pour la couleur et serrer un peu, coller la maille aux hanches. Je savais que les mamans allaient garer leurs grands garçons et les épouses leurs maris quadragénaires. Je savais que les demoiselles d'honneur engoncées dans leur organdi allaient me bader en trempant leur gousset de dentelle, en espoir d'un jour peut être me ressembler, émulation dit-on. Et, elles aussi, prendre le meilleur, clair ou ivoire, giclant au fond du cœur. J'avais repéré un grand gaillard, tout jeune, sapé comme un mylord, le p'tit frère de la mariée sans doute, suffisant, magnifique de certitudes. Il avait les yeux obnubilés par mon pubis dont le frisotis gonflait discrètement la robe sous la ceinture Hermès. Il avait pris rang pour la communion et je me suis immiscée juste devant lui. Au moment de prendre l'hostie des mains du prêtre, j'ai balayé de mes fesses son érection mal contenue par l'habit. Sa réaction violente instinctive n'a échappé à personne, surtout pas à moi qui ai pris sa bite hardie et juvénile entre mes deux globes, tissu de la robe repoussé loin ...
... dans ma craque ouverte. La posture de recueillement qu'imposait le sacrement n'a pas suffit à remettre les choses en ordre et c'est avec la maille coincée entre les fesses qu'il m'a fallu rejoindre ma place et mon prie-Dieu, rouge au front et mouille à la touffe, avec sourde compoction tête baissée devant toute l'assemblée en piété. Le jeune gars avait compris qu'il aurait probable opportunité et, avisé, lieu d'aller signer le registre sacerdotal en sa qualité de témoin, à la fin du culte, il a filé vers la sacristie. Où, bien entendu je l'attendais, fesses appuyées sur un grand bénitier de marbre manifestement pérempté car vide d'eaux. L'habit gris avec queue de pie était bragueté de boutons de nacre et j'ai fait montre d'habileté digitale en dégageant son appendice caudal en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. C'était un ado fougueux et, à peine eus-je dégagé le gland du prépuce qu'il se mit à gicler tous azimuts, arrosant copieusement les alentours et en particulier la dentelle des aubes des enfants de cœur suspendues là. J'ai filé, un peu déçue jusqu'à ma place dans l'église. Il a rejoint, un peu penaud, l'autel sur lequel il devait signer le registre. Nous nous sommes regardés, complices et il m'a souri. Nous avons, l'un et l'autre pensé, ce n'est que partie remise. Mettre et remettre. Se faire mettre. La mise. Rien ne va plus. Impair passe et gagne. Petite remise, à prix d'ami ou bien plein pot ? Aprés le culte, à la sortie de l'église, on jette le riz. Soleil, ...