Fraternité étudiante (7)
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
Gay
... Enculator était inscrit sur ma liste. Il lui revenait le droit de m’entamer. J’avais déjà tâté de son gros nœud à plusieurs reprises mais il fallait toujours un temps pour s’y adapter. Seulement, maintenant que nous n’en étions plus des novices, Matt y allait sans se gêner. Il enduisait son gros gland de gel, lubrifiait l’anus à deux ou trois doigts et enculait d’un coup assez vif arrachant toujours un cri de douleur au passage. Quand, enfin il était passé et que sa queue tapait sauvagement au fond, le plaisir arrivait au galop. Après, toute pénétration d’une autre queue était une caresse pour peu que le mec fît attention. Ce soir là, j’eus ma première triple. La taille de la queue d’Enculator le permettait. J’étais allongé sur un mec qui me pinait avec ardeur quand un second vingt se mettre en bouledogue. En s’immisçant entre les jambes du mec allongé, Matt put présenter sa bite. Ce ne fut pas sans mal. La bite du mec d’en dessous n’arrêtait pas de glisser et de s’extraire. Mais en me cambrant comme il le fallait, en prenant soin de bloquer les mecs le plus profondément en moi et en poussant de toute sa force, il réussit à m’enfiler. Je sentis mon anus se dilater comme pour exploser et malgré la compression qui écrasait les deux autres bites, mes parois s’écartèrent. Quand les trois queues furent comprimées les unes contre les autres, Matt lança l’assaut les deux autres restant quasi immobiles, concentrés seulement à maintenir leur tige en place. L’un d’eux cependant ne put ...
... se contenir et éjacula abondamment en moi. Cette dose nouvelle de lubrifiant fit coulisser les pénis les uns sur les autres de sorte qu’ils eurent du mal à rester en place et qu’il fut impossible de maintenir la triple plus longtemps. Ensuite chaque mec y allait comme bon lui semblait. Il devait veiller à ne pas rester planté trop longtemps dans mon derche pour laisser la place au suivant. Mes mains étaient vivement sollicitées et ma bouche toujours pleine. Peu à peu, à mesure que les mecs découillaient je devins une outre à sperme. Selon son désir, chacun se déversait où il voulait, en faciale, dans la bouche ou dans le cul, sur la raie... Comme j’étais la plupart du temps en levrette ou sur le ventre, mon dos devint vite poisseux mais quelques garçons choisirent de me mettre sur le dos pour me pisser sur les couilles ou sur les tétons. Cependant, les faciales ou buccales l’emportaient facilement avec au moins 50 % des tirs même si je ne dressai pas pour cette fois de statistiques précises. Il va sans dire que dans presque 100 % des cas, je devais décrasser la queue. En regardant les quatre autres mecs qui se faisaient déboiter comme moi, je sus à peu près à quoi je ressemblais : une pute à jus au cul rougi par le claquement des cuisses et les fessées, avec des pendeloques de sperme dégoulinant depuis la commissure des lèvres, s’accrochant aux poils, bouchant les oreilles, faisant disparaître les sourcils sous une couche onctueuse. On me trouvait assez endurant du cul, je ne ...