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Fraternité étudiante (7)
Datte: 13/09/2017, Catégories: Gay
... simulais pas mes orgasmes ou mes cris et on prenait parfois plaisir à essayer de m’insulter en français après m’avoir demandé comment on traduisait "pute, salope, pédale, trou du cul..." et tellement d’autres. Au mois de décembre, j’avais réussi à trouver un équilibre entre un travail soutenu (je tenais quand même à réussir mes études qui me coûtaient fort cher aux États-Unis) et les plaisirs du sexe. Grâce à la Fraternité, j’arrivais aussi à arrondir mes fins de mois. Il arrivait en effet qu’un ancien, venu se vider les couilles et plein aux as, nous fasse des cadeaux. J’avais demandé si c’était le prix de la prostitution mais on m’avait vite fait remarquer qu’il n’en était pas question. Pour les anciens, l’usage de nos culs était un droit absolument gratuit, mais rien n’interdisait à tel ou tel de pratiquer une gratification en cas de contentement et nous étions libres de refuser. Je ne refusai pas et j’espérais ainsi me payer un billet d’avion pour passer les vacances de Noël en France. Mais Kyle me demanda de rester avec lui pour les fêtes. Il devait les passer chez sa mère dans un chalet sur les pistes de ski des Montagnes Rocheuses, au nord ouest de Denver. Ses parents étaient séparés mais riches tous les deux. Comme il n’avait pas été prévu que je rentre en France avant l’été suivant, je lui obéis bien volontiers. L’avant-veille de Noël nous prîmes donc l’avion pour le Colorado... sans aucun frais pour moi, sa mère ayant tenu à tout régler. Le chalet était immense ...
... pour quatre (en comptant Gilda la domestique qui faisait partie de la famille et avait quasiment élevé Kyle) et on me donna une grande chambre où kyle, en cachette vint me rejoindre tous les soirs. J’avais peur que sa mère nous surprenne. Quand à Gilda, elle ne fut pas longue à se rendre compte que nous n’utilisions qu’un lit et qu’il ne s’agissait pas que d’y dormir. Comme elle adorait le garçon qu’elle avait élevé, elle ne m’en montra que plus d’affection. Un matin, comme je m’étais éveillé et que je regardai les splendides épaules de mon homme qui dormait encore à côté de moi me promettant de les couvrir bientôt de baisers, j’entendis sa mère demander à Gilda si elle avait vu Kyle qui n’était pas dans sa chambre et dont le lit n’avait pas été défait. Gilda lui répondit qu’elle n’en savait rien. Dix secondes après, on frappait à ma porte. Je ne répondis pas. On frappa encore et comme je faisais toujours le mort, la porte s’ouvrit. Je fis la mine de dormir mais je ne savais pas où me mettre. La mère de kyle repartit comme elle était venue. Je m’empressai de le réveiller et de lui dire ce qu’il s’était passé. Nous ne revîmes pas Angela (c’est le prénom de la mère de Kyle) avant le dîner. Elle nous demanda si nous avions passé une bonne journée. Kyle lui répondit : "Pleine d’inquiétude". — Pourquoi ? — Parce que je ne savais comment comment tu prendrais... — Prendrais quoi ? — Tu nous as vus ce matin dans le lit de Jean-Charles. — Oui. — Et ? — Rien. — Rien ? Vraiment ? — Tu fais ...