Deux paires de deux
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... qu’il s’agit ! Il caresse de plus en plus sensuellement mon sein, tandis qu’il se colle à moi insidieusement. Son autre main caresse délicatement ma jambe, s’arrêtant juste au tissu de ma bien faible chemise de nuit. Il murmure à mon oreille : — J’espère bien qu’il s’agit de votre adorable corps à vous, et non de celui de ces doctes médecins à barbe blanche !— Pff ! On ne vous a jamais dit que vous faites dans l’humour crétin ?— Comme celui des lapins ?— J’espère pour vous que vous ne faites pas tout comme les lapins ! C’est alors que je réalise ce que je viens de dire et le gros sous-entendu qu’il y avait dedans. Vite, une autre phrase pour masquer celle-là ! Trop tard, il rebondit : — Je puis vous garantir, chère Floriane, que je suis loin de faire les choses comme les lapins. Sinon, je crois que je ne serais pas là à me contenter de vous caresser…— Eh bien, contentez-vous…— Certaine ? Et cet horrible homme m’embrasse à nouveau dans le cou ! Quel pervers ! Visiblement, il a compris un de mes points faibles. Mais pourquoi diable je ne sors pas de ce lit en quatrième vitesse ? Il m’enlace peut-être, mais j’ai l’impression qu’il relâcherait son étreinte si je faisais l’effort de vouloir me dégager. En attendant, c’est moi qui ai l’impression d’être le lapin dans les pattes d’un renard ou d’un loup. Renard ou loup ? Bonne question ! En tout cas, il glisse sa main sous ma chemise de nuit pour continuer à caresser ma jambe, lentement, délicatement, mais sûrement ! Il est presque ...
... arrivé sur ma hanche. Et son machin durcit de plus en plus, c’est évident ! Il continue de m’embrasser dans le cou, sensuellement ; je me laisse faire. Pourtant, je ne suis pas du genre à me laisser faire par le premier venu, mais là, je n’y vois pas d’objection. Quelque chose me dit que je peux me permettre un flirt poussé sans être obligée de passer à la casserole. Apaisée, je ferme les yeux, profitant de ces moments de douceur et de sensualité. Il murmure : — Vous n’avez qu’un seul mot à dire, Floriane… Et dépêchez-vous, car la pente devient de plus en plus glissante…— Je croyais que vous aviez un très bon self-control ?— Il y a une limite à tout, y compris mon self-control, surtout avec vous !— Pff, c’est ce que vous baratinez à toutes les filles que vous rencontrez !— Même si je vous jure le contraire, vous ne me croiriez pas. Je me trompe ?— Pas trop, pas trop… Ses caresses deviennent de plus en plus pressantes, mon sein dans sa main, ses doigts qui glissent sur ma hanche, mon ventre, qui effleurent mon petit bosquet. Je sens bien qu’il fait un rude effort pour encore se contrôler ! À présent, il joue avec les boucles de ma toison : — Ils sont très soyeux, comme vos cheveux…— Vous pouvez me dire… ce que vos doigts… font là ?— Ils explorent et ils dénichent plein de bonnes choses !— Ah bon ?— Oui, je suis partisan des toisons naturelles, c’est plus… enfin… c’est plus naturel… Ce n’est pas comme Anton qui préfère que ça soit plutôt lisse. Mais à chaque fois que je rase, ...