Deux paires de deux
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... je me blottis contre lui pour mieux me nicher. Je suis bien, très bien, trop bien. Sa respiration s’apaise, comme la mienne, nous respirons à présent de façon synchrone. Sa caresse devient plus lente, plus douce aussi. C’est alors que j’ose placer ma jambe entre les siennes pour venir caler ensuite mon pied par dessous. Juste un petit tressaillement de sa part, puis il m’attire encore plus contre lui. J’aime son odeur, sa chaleur… Je me sens si bien, parfaitement détendue et je m’enfonce sans peur dans le pays des songes… Le soleil est déjà levé, quelques rayons de lumière filtrent dans la chambre. J’ai fait un drôle de rêve, cette nuit, celui d’avoir été vendu à un homme suite à une partie de poker et que nous avions dormi ensemble ! C’est alors que je réalise que je ne suis pas seule dans le lit ! En effet, je suis visiblement dans les bras d’un homme qui m’enlace, une main sur mon ventre, l’autre capturant un sein, tandis qu’il est plaqué contre mon dos ! Et je sens que cet homme est en pleine forme, d’après ce qui est compressé sur mes fesses ! Dans quelle situation à la con, je me suis laissé embarquer ! ! Par contre, je reconnais que j’ai bien dormi, en sécurité… — Ah ? Réveillée ?— Euh… oui…— Dommage, nous étions bien ainsi…— Euh… vous ne croyez pas que vous abusez un peu ?— Comment ça ?— Vous êtes un peu trop collé ! Sans parler de votre main, là, sur mon sein !— Très doux et très moelleux sein ! Je soupire, sans pour autant me dégager… — Peut-être, mais ce n’est ...
... pas une raison !— Vous avez tort ! Vos seins sont délicatement mignons et idéaux pour la prise en main !— Vous savez être sérieux ?— Ça m’arrive…— Et c’est bien sérieux, ce que je sens, là, sur mes fesses ?— C’est purement physiologique ! Un mécanisme matinal d’entretien de la mécanique !— Purement physiologique ? Je ne sais pas si je dois être soulagée ou vexée ! Il rit, sans toutefois relâcher son étreinte : — Pour être franc, hier soir, durant le poker, bien plus qu’une fois, ce ne fut pas que physiologique !— Comment ça ?— Eh bien, chère Madame, il est parfois difficile de rester de marbre avec vous ! Non, non, vous me rendez plutôt de marbre quand je vois dans quel état vous mettez mon machin !— Et votre machin, comme vous dites, il ne pourrait pas aller se coller ailleurs ?— Si si ! Mais j’ose pas, j’suis trop timide ! C’est à mon tour de rire. Femme qui rit est déjà dans ton lit ; moi, j’y suis déjà ! C’est alors qu’il fait quelque chose qu’il ne fallait pas qu’il fasse : — J’adore quand vous riez ! Et il m’embrasse dans le cou ! Ce n’est pas la première fois qu’on m’embrasse dans le cou, mais cette fois-ci, je fonds littéralement ! C’est dingue l’effet que ça me fait ! Je me demande bien ce que je dois faire ? Je l’envoie balader ? Je ne bronche pas ? Je me laisse aller ? — On dirait que vous ne détestez pas les bisous dans le cou, chère Floriane…— En quel honneur ?— À certains symptômes, comme on le dirait dans le corps médical…— En attendant, c’est de mon corps à moi ...