Deux paires de deux - Histoires de Sexe

Deux paires de deux

... partout, te remplir encore et encore et recommencer encore et encore !— Waow ! Tout un programme ! Soudain, à ma grande stupéfaction, il s’éloigne de moi. Je me retourne : — Euh, tu fais quoi ?— Je me lève…— Et ta queue ?— Elle attendra ce soir… Je lance ma main et je capture son mandrin entre mes doigts ; je me glisse presque sous lui, et le regardant dans les yeux, je lui déclare : — Je veux la voir jouir !— Comment ?— Ah, ça, c’est à toi de décider ! Mais pas de pénétration !— OK, pas de pénétration, mais tout ce que je veux ?— Oui, du moment que je te vois éjaculer ! Tu m’as fait jouir, je veux te rendre la pareille. Il me surplombe, jambes écartées, ses boules bien suspendues et en évidence pas loin de mon nez, un sourire amusé : — Vous avez de ces exigences, Madame !— Alors ! ?— À vos ordres ! Mais à mon tour d’exiger quelque chose !— Et quoi ?— Tu te masturbes pendant que j’exauce ton souhait !— OK ! Et tu vas me faire quoi ? Il se positionne juste à côté de moi, puis prenant une voix d’obsédé sexuel : — Je vais t’en mettre plein les nichons ! Partout, partout !— Et puis ?— Et puis, tu étaleras mon sperme sur tes beaux nichons, comme une crème !— Hum hum ! Et puis ?— Tu ouvriras grande la bouche et je veux que tu me suces jusqu’à ce qu’elle redevienne toute raide !— Hum hum ! Et quand elle sera redevenue toute raide ?— Eh bien, tu te retourneras afin que je fasse la même chose sur tes belles fesses ? Ça te convient ? Lâchant sa tige, je soupèse ses boules, et avec un ...

... large sourire, je lui lance : — Chiche ! Eh bien, il m’a fait tout ce qu’il m’avait promis ! Et ça m’a beaucoup plu ! Après toutes ces aventures matinales, quand nous nous sommes définitivement réveillés, il a fallu que j’aille prendre une douche avec tout ce sperme sur mon corps qui commençait à coller un peu ci et là. Je m’étonne moi-même de m’être endormie ainsi ! Avant, nous nous sommes faits plein de bisous et de câlins. Pour la douche, il a tenu à la prendre avec moi. Nous sommes dans la cabine, il me lave délicatement, gant de toilette en main : — Tu en partout, partout !— À qui la faute ? C’est ton sperme, pas le mien !— Tu aurais pu demander autre chose… Bon, c’est vrai, je reconnais que j’en ai rajouté un peu beaucoup pour voir ta réaction…— Ça, je l’avais compris ! Déçu ?— Déçu que tu aies accepté de jouer les adorables cochonnes ? Absolument pas ! Un peu étonné, je te l’avoue. Je me retourne pour lui faire face : — Moi aussi, je m’étonne ! Et puis, tu m’as gagnée, il me semble…— Ça, c’est le prétexte ! Louis t’aurait gagnée, tu aurais fait la même chose ?— Tu veux rire ! Même Anton n’a pas fait ce genre de choses avec moi. Faut dire qu’avec lui, c’est « écarte tes guibolles que je m’y mette » !— Ah oui… pas très folichon… Je me redresse sur mes orteils pour lui déposer un bisou sur ses lèvres humides. Intrigué, mais ravi, il demande : — En quel honneur ?— J’en avais envie, c’est tout ! Il se jette sur moi et m’inflige un baiser brûlant et vorace, avec ses mains ...