Deux paires de deux
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... baladeuses qui m’explorent de partout. L’eau coule toujours sur nous, j’aime beaucoup ! Je réponds sans vergogne à son baiser. Nous nous dévorons mutuellement. Puis il faut bien reprendre ses esprits. Nous sortons de la douche. Tandis qu’il m’essuie : — Vous êtes très dangereuse ! Il ne faut pas vous en promettre !— Dimanche soir, c’est fini… Il s’arrête de m’essuyer et me regarde intensément : — Et tu veux vraiment que ça s’arrête dimanche soir ?— Pas vraiment… Et toi ?— Pas du tout ! Et il me soulève dans ses bras et me porte jusqu’au lit afin de couvrir mon corps de baisers, et me faire jouir à nouveau, sa tête entre mes jambes, en train de me déguster suavement ! Nous nous sommes calmés. Nous avons pris le petit-déj ensemble. Puis comme si nous vivions ensemble depuis un certain temps, nous nous sommes réparti les tâches ménagères. Peu après, mon appartement est nickel. À deux, ça va plus vite ! Soudain le portable de Sylvain sonne, il consulte le message : — Ah, un message de Louis… Anton est dégrisé et il revient ici !— Il revient ici ?— Oui, ici à l’appart. Et d’après Louis, Anton semble de mauvais poil ! De très mauvais poil !— C’est pas ce qui était convenu ! Il me regarde un peu étonné, tout en mettant son portable dans sa poche, il se rapproche de moi pour mieux me dévisager : — Tu y as vraiment cru à cette histoire de week-end ? Je veux dire que tu as cru qu’Anton aurait laissé faire comme ça ?— Il a perdu et c’est lui qui m’a joué ! Et toi, tu y as cru à cette ...
... histoire de week-end, comme tu dis ?— Franchement, je veux y croire, mais j’ai des doutes sur sa faisabilité, surtout avec Anton dans les pattes…— C’est-à-dire ? Il pose ses mains sur mes épaules : — Écoute Floriane, nous n’en sommes qu’au début, mais ce n’est pas qu’un seul week-end que je veux passer avec toi !— Contente de te l’entendre dire !— Franchement, je n’aurais pas pensé que ça se passe si bien entre nous. Enfin, je l’espérais quand même, mais je n’y croyais pas de trop !— Moi non plus ! Je suis la première étonnée ! Je le regarde intensément : — Alors on fait quoi ? Anton revient, et franchement, je préfère rester avec toi, même si tu me plaques demain soir !— Pourquoi je te plaquerais demain soir ?— On ne se connaît que depuis hier soir !— Hummm… Ce n’est pas tout à fait vrai, mais je t’expliquerai plus tard.— Comment ça, ce n’est pas tout à fait vrai ?— Plus tard, ma chérie. Faut d’abord régler le cas « Anton » ! J’écarquille grands mes yeux : — Ma chérie ? C’est bien ce que tu as dit ?— Oui, c’est ce que j’ai dit ! Bon écoute, ma chérie, faut prendre une décision vis-à-vis d’Anton. Je pense que tu commençais à en avoir marre de lui, mais que tu ne savais pas comment t’en débarrasser.— C’est pas faux ! Car Monsieur Anton et ses lubies, ses humeurs, ses maîtresses, je commençais à en avoir ras la casquette !— Très bien ! Tu as maintenant un prétexte : moi !— Comment ça ? Je ne peux pas lui dire la bouche en cœur que je le vire parce que tu… enfin… ben… tu…— Parce ...