1. Deux paires de deux


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, intermast, Oral pénétratio, occasion,

    ... que tu aimais faire la sieste. N’est-ce pas ?— Ah… Tu… Je…— Je me demande pourquoi je restais avec toi. Bon, on arrête là, stop. La goutte d’eau, c’est quand tu m’as vendue au poker, sans même me demander si j’étais OK. Tes copines se feront un plaisir de t’accueillir. Et tu me rends mes clés, car je n’aime pas trop qu’on se serve de mon lit quand je suis au boulot !— Tu déconnes ! J’ai jamais…— Écoute : c’est très bien de mettre des capotes, mais on ne les laisse pas traîner au sol, on les met à la poubelle ou éventuellement dans la cuvette des w.c. ! Là, les deux hommes me regardent assez étonnés. Oui, j’ai oublié de raconter ce détail hier soir à Sylvain. Je continue : — Idem pour tes poufs de passage : on ne laisse pas traîner son string dans le lit.— Un string ? Mais c’était le tien !— Je ne fais pas du 36, désolée ! Je secoue la tête, je me sens lasse, je m’adresse aux deux hommes, d’abord à mon ex-copain : — Je vais dans la chambre, je te refile tes affaires. S’il manque des trucs, tu les auras plus tard. En attendant, Sylvain, je te fais confiance.— Merci, Floriane… Je ferme la porte derrière moi. J’entends des éclats de voix tandis que je jette dans un carton les affaires d’Anton. Il y en a peu, il mettait presque toujours les mêmes habits. Même pas propre, rien pour lui, pourquoi je me suis encombrée de ce type si longtemps ? J’ouvre la porte, je fais glisser le carton hors de la chambre. Les deux hommes me regardent rentrer à nouveau dans la chambre, voûtée. ...
    ... Déprimée, je m’assieds sur le rebord du lit. Je n’ai même pas envie de pleurer. Le temps passe. On toque à la porte. — Tu es visible ?— Oui… Et Anton ?— Il est parti avec son carton. Et j’ai tes clés. Il entre puis s’agenouille face à moi. Je lui demande : — Pourquoi tu as joué sur les mots ? Oui, avec ton histoire de pénétration ?— Ce n’est pas vrai ?— Tu joues sur les mots, Sylvain. C’est vrai que tu ne m’as pas pénétrée, mais ce qu’on a fait ensemble, c’est presque la même chose.— Pour Anton, tu ne l’as pas trompé. Il ne pourra pas se répandre en saloperies sur ton compte.— Oh tu sais, ce qu’il peut dire de moi…— Moi, je n’aime pas qu’on dise des saloperies sur ma petite amie ! Surprise, je lève la tête : — Ta petite amie ? Moi ?— Du moins jusqu’à demain soir !— T’es con ! Amusée, je lui balance un oreiller dans la figure. Puis je tombe à la renverse sur le lit, les bras en croix, un sourire aux lèvres. Sylvain s’allonge à côté de moi, accoudé, me surveillant, vaguement inquiet. Il finit par me demander : — Tu préfères que je te laisse seule ?— Serre-moi dans tes bras… Il s’exécute aussitôt. Oui, c’est fou ce que je peux me sentir bien comme ça ! Puis nous sommes sortis en ville, main dans la main. Il est en chemise et jean, et moi, dans une petite robe verte. Nous avons déambulé dans les rues et parfois dans les magasins, sans but précis, grignotant une gaufre ou léchant une glace, nous dévorant de bisous, profitant du soleil dehors jusqu’à ce que le soir survienne… Nous sommes ...
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