1. La fille en rouge


    Datte: 13/09/2017, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, attache, tutu, totalsexe, fsoumisah,

    ... toi qui…, j’aimerais qu’elle me fasse… avec toi qui…). Lorsque nous étions en phase, nous avons (surtout toi) fait quelques allusions pour les tester sur leur ouverture, voire franchement engagé la conversation et devisé sur l’amour à trois lorsqu’il y avait une ouverture. Tu as été assez active à cela. J’en ai ressenti une pointe de jalousie. Certes, nous le faisons ensemble, mais le fais-tu pour toi seule ? Ou suis-je aussi inclus dans la manière dont tu fais cette recherche ? Pourtant, tu n’entres pas seule dans une conversation. J’y suis toujours. Parfois, tu t’arranges pour me dévoiler furtivement une partie de toi, de ton corps, tu prends quelques poses provocantes à mon attention seule, tu m’effleures. Je te laisse faire, ça m’excite, et je sais que nous nous retrouverons à deux plus tard… Puis nous nous retrouvons là où tu loges. En montant l’escalier, tu es passée devant moi. Comme il n’y a personne, tu te fais carrément impudique, montant les marches en exagérant le mouvement de tes hanches, de tes fesses. Je peux entrevoir la naissance de tes fesses et de ton intimité car tu portes cette jupe moulante et courte que tu as légèrement relevée. Les courbes de ton corps sont encore plus exagérées par ce que tu portes en dessous, que je n’ai pas vu. Un porte-jarretelles ? Je peux voir maintenant les jarretelles qui retiennent tes bas. Peut-être une guêpière comme haut ? Je ne sais pas, ta taille semble si fine, si serrée en dessous… Je n’y tiens plus, je glisse une main ...
    ... et je te touche : les fesses, leur creux, ton entrejambe, ton intimité. Je découvre immédiatement une moiteur accueillante. Tes mouvements n’étaient donc pas feints. Tu me désires, tu le montres, tu es chaude. Nous montons ainsi doucement. Parfois tu laisses échapper quelques gémissements car mon doigt caresse doucement ton petit bouton. Nous arrivons enfin en haut et entrons. Tu te détaches, je ne connais pas ce lieu, toi si. À l’intérieur il y a cette pièce qui franchement ressemble à une cave. Les murs sont gris : le béton brut, le sol aussi. Au milieu il y a cette chaise rouge, c’est tout. C’est tout ? Non, je vois aussi dans un coin quelques outils et matériels. Le lieu est manifestement en travaux. Après être entrée, me devançant, tu t’es retournée et me fais face, debout. Dans ton regard, cette expression de désir contenu, d’appel qui me donne tous les droits, toutes les permissions de plaisir et de chair. Puis tu baisses légèrement les yeux et te déshabilles. Je t’aide, doucement. Je découvre alors la raison de mes interrogations plus tôt. Tu portes ces chaussures à hauts talons, rouges, ces bas ajustés sur tes jambes, et ce dessous rouge. Cette sorte de guêpière qui est en fait aussi un corset, qui te serre fortement la taille. Tes seins sont libres. C’est une matière lisse. Cuir ? Latex ? Il y a aussi les jarretières et un string de la même matière, qui offre une ouverture au niveau de ta chatte et de ton anus. Je comprends que tu es mienne totalement. Tu m’offres ...