La fille en rouge - Histoires de Sexe

La fille en rouge

... tout. Je sais maintenant que ce que tu veux avant tout, c’est tout donner, être prise, être soumise à ce que je voudrai prendre. Cette tenu hyper sexuelle, les ouvertures ménagées, l’exacerbation de tes formes qu’elle provoque, ton regard : tout révèle le désir, le don (cadeau) de toi parce que c’est pour moi, la chienne sexuelle en toi, avide de chair, de ta chair et de ma chair. Tu es là, tu n’as rien dit. Quel contraste entre la femme-chienne, soumise et belle (belle de ce qu’elle exhibe et belle du cadeau qu’elle offre avec envie) qui se trouve devant moi, et la femme de tout à l’heure dans les bars, avenante, exubérante, drôle, coquine, séductrice. Ici, dans ce lieu brut, tu montres aussi ta facette brute de chair et de désir. Ce désir, ce que tu veux, ce que tu ressens, je veux que tu l’exprimes maintenant et plus tard, au fur et à mesure. Je te le demande. Tu pourras crier, hurler ton plaisir. Ici dans ce lieu, personne ne t’entend, personne pour te juger et tu es en sécurité. Je t’enlace, je glisse mes mains autour de toi, je pétris tes formes et tes fesses offertes, avec force. Je t’embrasse. Tu réponds avec fougue. Je prends tes seins à pleines mains ; j’en pince légèrement le bout. Tu gémis de satisfaction, là encore appel. Tu exprimes, tu dis maintenant ton désir : tu dis que tu veux être chienne de sexe pour moi. Je te guide vers cette chaise. Tu t’y assieds au bout, les mains en arrière, cambrée au maximum, poitrine en avant, jambes légèrement ouvertes. Tu ...

... mouilles, tu coules, tu veux. Je vois que parmi les outils et matériels il y a une corde. Je la prends et je commence à attacher tes mains sur la chaise, les bras le long de ton corps. Ce faisant je glisse de temps en temps ma main vers ton sexe ; je palpe ta moiteur, je caresse et je titille ton petit bouton, puis je reviens à mes nœuds. Tu halètes, ta bouche est entrouverte, je t’embrasse, je suce ta langue. Tu réponds puis gardes la bouche entrouverte, avec air de demande, entrouverte comme un sexe désirant recevoir le mien, le caresser, le combler. Tu dis ton envie de me sucer. Je finis mes nœuds puis te donne mon sexe à sucer. Tu gémis de ce plaisir de combler, gourmande, avide. Je m’éloigne un peu et tu te rends compte soudain que tes mains sont attachées car elles te retiennent et tu ne peux me suivre, mon sexe sortant de ta bouche. Un petit cri de frustration émane de toi, vite suivi par une satisfaction et une gourmandise encore plus grande lorsque je décide de revenir vers ta bouche. Cette sortie t’a provoqué un désir plus grand de mon sexe. Tu le fais donc rentrer aussi loin que tu le peux au fond de ta bouche et de ta gorge. Tu t’actives vivement pour en profiter, loin. Je bouge : des va-et-vient dans ta bouche, et aussi je m’arrange pour glisser une main vers ton sexe. Je te caresse, en particulier ton petit bouton. Tu gémis de plaisir. Je m’active. Au bout d’un moment, je me retire de ta bouche, te soulève les fesses et viens m’installer en dessous de toi. Je glisse ...