La graine est plantée : Marc
Datte: 30/11/2019,
Catégories:
fh,
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Oral
pénétratio,
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confession,
... cette patronne perverse, et il faudrait que les autres y restent ? C’est vrai, mais tout de même, Maryse pousse le bouchon un peu loin… » — On regarde un peu et après tu me baises. D’accord ? Ce n’est ni ma raison, ni ma conscience, ni ma libido, ni mes fantasmes qui me parlent : c’est ma vicieuse de patronne qui est passée derrière moi et qui se frotte contre mon dos, me faisant sentir ses seins, son ventre, son pubis, et qui continue de me caresser la verge. C’est un homme vaincu qui se laisse convaincre. Ceux qui me connaissent vous diraient que je ne suis pas du genre à me laisser diriger ; j’aime prendre mon destin en main, dans chaque moment de la vie, pour chaque chose. Je fais partie des dominants ; enfin, j’aime à le croire. Et pourtant… Une femme se colle à moi, m’excite de la parole et des actes, me promettant le meilleur si j’ai la patience d’attendre. Mais attendre que ma copine se fasse baiser devant moi, voilà le deal ! Est-ce qu’on a dans notre cerveau une balance, des neurones spécialisés qui jugent et pèsent le pour et le contre en tenant compte de tout : envies, fantasmes, vécu, éducation, inhibition, morale, religion, société, amour, instincts primaires, etc., enfin tout ce qui nous construit et nous fait évoluer ? Elle est là, allongée, alanguie… Non, pas alanguie : attentive, impatiente, concentrée. Elle le suit des yeux. Elle le voit se placer entre ses cuisses. J’ai même l’impression qu’elle s’ouvre encore plus à son approche. L’homme se place. Il ...
... guide son sexe d’une main, pose l’autre sur la table pour prendre appui. Ils se regardent. J’abhorre cette complicité : on les dirait amants depuis toujours. L’homme la tient bizarrement, maintenant. Il a passé son bras sous les reins et la soulève, la cambre, l’attire vers lui. Le contraste est total : lui sombre, épaule carrées, les muscles qui roulent sous la peau ; elle blanche, fluette, petite chose qu’il déplace sans effort et qu’il s’apprête à posséder. — C’est beau ! Regarde comme je l’ai bien préparée : il va glisser en elle. La salope reconnaît qu’en léchant ma copine elle pensait déjà la faire baiser par son mari. Elle reprend : — C’est la première fois ? Bien sûr que c’est ma première fois. Tout est nouveau ce soir. Je hoche de la tête. — Tu as de la chance. Décidément, ils se sont donné le mot ! — Regarde… Je ne fais que cela, regarder ! Je suis des yeux la bite noire dont le gland a déjà disparu dans la fente brillante. La bite avance, le bassin vient à sa rencontre. Maintenant, Luc n’a plus besoin de guider son engin. Sa deuxième main vient soulager la première. Toutes deux entourent la taille, la soulèvent et cambrent encore plus celle qui se laisse faire. Voilà, ils sont ventre contre ventre. Ma copine enroule le corps de son amant avec ses jambes. Elle est comme suspendue à lui. Seules ses épaules et sa tête reposent sur la table. Luc commence aussitôt à bouger en elle. Son bassin ondule, les muscles de ses fesses se crispent. La queue réapparaît puis disparaît. ...