1. La graine est plantée : Marc


    Datte: 30/11/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, piscine, boitenuit, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, échange, confession,

    ... Il la prend régulièrement, profondément. — Regarde son visage… Cette femme est une manipulatrice perverse : elle sait quoi faire, quoi dire pour que son interlocuteur soit dirigé. Maryse regarde le plafond. Sa bouche est entrouverte. Elle semble respirer au rythme de la possession. Son plaisir est évident. Elle se laisse prendre avec envie. Laeticia me caresse. Elle a abandonné ma bite qui se plaque contre mon ventre pour laisser ses mains courir sur mon corps. Elle joue avec mes tétons. C’est bizarre ; sensation que je ne connais pas. Jamais une femme de m’a caressé ainsi. Je voudrais me retourner pour la prendre contre moi, mais elle me retient. — Après. Moi aussi j’ai envie. J’ai envie de toi depuis l’autre nuit. Mais patience. Déguste. Regarde comme ils sont beaux. Je passe pourtant ma main entre son corps et le mien. Ma paume découvre son pubis ; sa fente est à portée de mes doigts. Une crispation, et l’un entrouvre la fente. — Coquin ! Humm, c’est bon… La fente me guide au clitoris. — Oooh… Je ne suis pas mécontent de réveiller cette femme si sûre d’elle. J’insiste. Deux doigts me confirment que son désir n’est pas feint : elle ruisselle. Elle aussi a envie de plus, mais juste devant nous le couple bouge. L’homme se saisit des jambes de sa maîtresse et l’ouvre encore plus. Les jambes en l’air, dessinant un V indécent en affichant encore plus son intimité, ma copine se fait baiser. L’amant se dévoile aussi, montrant son impatience, son envie, sa puissance, sa domination. ...
    ... Oubliée, la lente possession. À lui le coup de reins viril qui pousse son mandrin dans une fente qui ne demande que cela, faisant claquer les chairs, déclenchant des souffles chargés de sons, qui même impossibles à écrire sont les marques du plaisir. — Continue… me souffle celle que j’excite de ma main. « Clap ! Clap ! Clap ! » résonnent les chairs qui se heurtent. — Regarde. Regarde ! me distille celle qui reste initiatrice malgré mes caresses. Combien de temps ? Mais à quel aune mesure-t-on de tels instants ? À la fréquence des « Oui… Oui… Oui… » que ma copine ne cesse de répéter, lancinante musique qui couvre maintenant le bruit des corps ? Au souffle de ma patronne que j’astique de mes doigts et qui frotte son bouton contre ma paume ? Au battement du sang qui irrigue ma verge ? Aux grimaces du baiseur, force vive, brutale, presque primitive qui enfile son bâton sans aucune retenue ? Mais en tout cas c’est ma copine, belle salope, qui sonne la fin. Elle, pas particulièrement silencieuse dans ses jouissances, clame celle-ci à la cantonnée. Le « Ouiiiiiiiiiiiiiii… » sans fin s’accompagne d’une crispation de tout son corps. L’orgasme est là, envahissant, s’exposant aux yeux de tous, et manifestement le point d’orgue qu’attendait son amant. Il s’immobilise, et aux crispations de son visage il n’est pas difficile de deviner que lui aussi jouit. L’enfoiré, le salaud s’est manifestement contrôlé pour ajouter à l’orgasme de Maryse sa liqueur brûlante qui vient lessiver les parois ...
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