Tempête
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
... savais cependant que Julie n’allait pas tarder à revenir. Tant pis, elle nous chercherait un instant, et nous prétexterions… Je ne savais quoi ! Cela n’avait aucune importance. Ce que je savais, en revanche, c’est que nous n’avions pas beaucoup de temps. Et nous n’avions aucune idée de la présence ou non d’importuns au bout de cette jetée. Car c’était bien là que nous nous précipitions. Par bonheur, l’endroit était désert, et personne à l’horizon proche, à première vue. L’urgence du désir nous fit perdre la tête. Une allée à rambarde faisait le tour du phare au-dessus de la mer agitée et obscure qui ne faisait qu’ajouter au trouble furieux de nos corps. Face à l’étendue houleuse, cachés du reste du monde, nous laissâmes libre court à la luxure libératrice. Claire, tout en ne quittant plus ma bouche et ma langue, s’assit sur le banc de pierre au pied de l’édifice. Moi toujours debout, je me penchais vers elle au fur et à mesure de la manœuvre. Mes mains encadrèrent son visage alors que notre souffle s’accélérait. Les siennes, libres, défirent le bouton de son pantalon, en abaissèrent la fermeture éclair. Elle se cambra, avançant son bassin vers le bord du banc. Elle abaissa le jean à mi-cuisses, emportant avec lui la fine culotte de coton qu’elle portait en dessous. Nous n’avions pas cessé de nous embrasser. Je la sentis frissonner à la soudaine fraîcheur des embruns sur sa peau brusquement dénudée. Ainsi en équilibre sur le rebord de pierre, ne pouvant écarter les ...
... cuisses, elle releva soudain ses genoux très haut, me donnant accès à l’objet de mon désir. Mes doigts purent alors s’insinuer sans attendre dans l’intimité de sa longue fente offerte. C’est bien une fontaine que j’y découvris, une fontaine de jouvence, pensai-je. Le temps nous manquait, et cela ne laissait la place à aucune autre considération. Il fallait jouir vite et intensément de cet instant accordé. Je savais que pour lui procurer un orgasme fort et plus rapide qu’à l’accoutumée, je devais m’enfoncer vers un lieu précis de son vagin palpitant. Je sentis aux nouvelles vibrations qui suivirent que j’avais atteint mon but. Le bout de deux phalanges massaient désormais l’endroit fatidique. Elle me fit me placer légèrement de côté, près de sa cuisse gauche pour libérer ma verge de sa prison incommode. Sa bouche quitta la mienne pour s’emparer voluptueusement de ce qu’elle convoitait depuis si longtemps. Elle poussa un gémissement étouffé qui se mêla avec bonheur au doux chahut du ressac. Les miens ne tardèrent pas. Je sentais, en même temps que le fourreau de sa bouche versatile et chaude, sa chevelure sur mon bas-ventre. Cela décupla mon excitation. Je savais que je n’allais pas tenir longtemps sous l’action conjuguée de sa langue gourmande et de ses lèvres savourant mon vit durci qui demandait grâce. Je voulais jouir en même temps qu’elle, partager le même instant. Pour cela, l’un des doigts libres de la main qui fouillait fébrilement son sexe s’aventura vers l’orifice voisin. ...