Echec et mate
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fhh,
fhhh,
grp,
extracon,
extraoffre,
Collègues / Travail
grossexe,
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vacances,
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campagne,
collection,
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vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
rasage,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
échange,
humour,
... voulais lui montrer ce qu’il allait perdre, puisque mon Laurent allait remporter la victoire et j’avoue que je voulais le déconcentrer aussi, afin que mon époux ait l’occasion de remporter la victoire. Ils étaient donc en pleine concentration, quand mon cher et tendre a brisé le silence : — Putain, celle-là je ne l’ai pas vue venir. C’est pas vrai ! Bordel ! De tels propos dans la bouche de Laurent me surprirent, et là, je pris conscience de son désarroi, puis j’ai compris qu’il venait de perdre la partie et que du même coup Philippe m’avait gagnée. Mon mari, grand seigneur, invita du geste son ami à se rapprocher de moi. — Tu verras, tu ne regretteras pas que Laurent ait perdu. J’avoue qu’avoir des relations avec un homme chez moi, devant mon mari complaisant et voyeur, était une situation inédite pour moi. Et est-ce cette nouveauté ? Je sentis bientôt, outre mes tétons qui tendaient le frêle tissu de mon top, monter une vague de chaleur dans mon ventre avec comme conséquence une humidité certaine de mon minou. Philippe chercha alors à m’embrasser. Il posa ses lèvres sur les miennes. D’abord récalcitrante, je fis un barrage de mes dents à sa langue. Repensant à mon époux et à la manière désinvolte qu’il avait eue de me proposer comme lot, je lançai ma langue à la rencontre de la sienne. Nous les fîmes se chevaucher, se combattre, se faire l’amour. J’envoyai ma main à la rencontre de son sexe à moitié sorti du slip prêté par Laurent. Lui, n’attendant que ce signal, se libéra. ...
... Il vint empaumer mes seins après m’avoir fait lever les bras et après en avoir fait passer les fines bretelles par-dessus mes épaules. Je sentais les poils de sa poitrine énerver délicatement mes seins qu’il ramenait vers son torse. Je mouillais de plus en plus. Je le sentais de plus en plus entreprenant. Je sentis sa main rechercher la fermeture de ma micro jupe, puis elle s’insinua entre nos sexes pour baisser le frêle rempart de tissu du string arachnéen que j’avais eu la bonne idée de mettre. — Tu es vraiment monté comme un âne, lui dis-je en commençant un mouvement de va-et-vient sur sa hampe que j’avais du mal à couvrir de mes deux mains. S’étant aperçu que j’étais pas mal mouillée, il tint à continuer et me fit allonger à même le sol, il nous fit mettre tête-bêche et nous eûmes bientôt le sexe de l’autre en bouche. Pendant qu’il me dévorait le vagin, je me suis occupée de sa queue. Magnifiquement monté, il devait faire dans les six à sept centimètres de "tour de taille" pour une trentaine de centimètres de long. Il était plus large et plus long que Laurent qui arrivait déjà bien à me remplir. Qu’est-ce que ça allait être !… J’avais donc le sexe de Philippe en bouche et j’avoue que j’aimais ça. J’en arrivais à me demander ce que j’étais devenue : une putain, une garce ? Car si Laurent avait fait en sorte de me plier à ses désirs, ses fantasmes et à ses pulsions bien peu conventionnels, je me demandais si je n’en tirais pas une certaine jouissance, si je n’acceptais pas ...