Echec et mate
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
fhh,
fhhh,
grp,
extracon,
extraoffre,
Collègues / Travail
grossexe,
poilu(e)s,
vacances,
piscine,
campagne,
collection,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
rasage,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
échange,
humour,
... trop facilement de me soumettre à ces plaisirs particuliers. Pour l’instant, un sexe masculin me distendait les lèvres, me faisait hoqueter de bonheur. Qu’il était long et gros, qu’il était chaud et parfumé ! Je m’appliquai à en sucer le gland, passai ma langue sur toute la longueur de sa hampe, léchai ses couilles avant de revenir faire un tendre baiser sur son gland. Sa queue prenait encore du volume ! J’en étais fière. Il se mit à gémir et cela me donna envie d’en faire plus. Je remontai tout en laissant un filet de salive, je suçotai le bout de son sexe tout en branlant sa hampe de la main, je redescendis, loin, très loin pour lui faire sentir mon souffle chaud sur son ventre, mes lèvres se frottant sur ses poils intimes. À certains moments je laissais sa queue ressortir complètement du fourreau de ma bouche, puis je la reprenais complètement, faisant mine de l’avaler, à d’autres, j’en attaquais l’extrémité en l’enveloppant de toute la largeur de ma langue, à d’autres encore, je "picorais" son gland en l’embrassant et en le suçotant. Quant à lui, je l’ai senti repousser doucement mon clito, en révéler la petite tête rouge et dure, suintante d’humidité. Philippe léchait mon bouton à petits coups de langue vifs, incisifs et rapides. Il jouait avec mes lèvres, me léchait la fente de haut en bas, encore et encore, y mettait la langue pour recueillir ma cyprine qui coulait maintenant en abondance. Mon corps allait à la rencontre de sa bouche, de sa langue. Il me dévorait le ...
... minou et je coulais comme une fontaine, je creusais le ventre comme pour mieux en faire l’offrande à mon bienfaiteur. Je m’entendis grogner de plaisir, puis ce fut au tour de Philippe. Il interrompit donc le 69, et se mettant le sexe à hauteur de ma poitrine, il commença à promener sa verge sur mes seins. Le gland, mouillé de ma salive et de ses sécrétions intimes se frottait sur mes mamelons durs et tout érigés. Son bout laissait perler des gouttes transparentes qu’il s’appliqua à étaler sur mes aréoles. Sous la caresse mouillée, ma poitrine presque douloureuse grossit et durcit encore. La transpiration qui nimbait mes seins facilitait le contact et je fis une gangue pour son pénis en appliquant sur sa tige mes globes mammaires. Après une bonne dizaine de minutes de frotti-frotta, j’avais pris le rythme : je voyais en contre-plongée, son gland surgir du fourreau de mes seins à l’instar d’un diable sortant de sa boîte, avec une précision de métronome, quand, tout à coup, son sperme jaillit avec une puissance que je ne soupçonnais pas. Je vis la suite comme dans un film au ralenti : il atteignit d’abord ma chevelure trempée de sueur, puis mon visage. J’ouvris alors la bouche pour récupérer une partie du précieux nectar. La puissance de l’émission de foutre fit que je m’étouffai presque en déglutissant. Il termina en maculant mon menton et mes nichons qui avaient été le berceau orgasmique de son éjaculation. C’était la première fois que je vivais ça ! Même avec Laurent, qui était ...