L'odieux chantage
Datte: 03/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... d’accueil et aussi de bureau à trois personnes habituellement. Je vois que deux collègues sont là, occupés chacun avec des clients, je sens aussi les regards de tous me suivre. Je me précipite plus que je ne marche vers le panneau mobile placé devant la vitrine, mes seins ballottent dans tous les sens sous le rythme effréné de mon pas. Arrivée à destination, je fais pivoter rapidement le panneau et stupidement j’ai le sentiment d’être à l’abri quand je me glisse derrière, alors que je suis exposée aux yeux de la rue désormais. Je pose le téléphone que j’avais à la main sur un rebord. Je manipule les pancartes accrochées pour me donner une bonne contenance en tournant le dos à la rue. Mon maître-chanteur est probablement là, quelque part en face dans la rue, dans une voiture ou à une fenêtre peut-être. Les lumières des spots qui éclairent le panneau à annonces m’éblouissent et m’empêchent de voir autre chose que des silhouettes à travers la vitre. Le téléphone sonne, un message vient d’arriver. Je le lis: «Débrouille-toi pour montrer ton cul de salope. » Je me doute qu’il veut que je me donne en spectacle derrière cette vitrine. Je n’ai pas le choix. Obéissante, je me penche pour saisir les annonces au bas du panneau et reste ainsi pliée en deux, le cul en l’air. Je sens ma robe glisser le long de mes fesses, remontant inexorablement pour le plus grand bonheur des passants et de mon tyran. Nouvelle sonnerie du téléphone et nouveau message. «Écarte plus tes jambes ! » Je ...
... réponds par un message, les mains tremblantes sous les regards de tous ceux qui passent dans la rue, aussi bien à pied qu’en véhicule. J’arrive à les discerner car, malgré moi, je jette des coups d’œil nerveux à travers la vitre. «D’accord mais après on n’arrête par pitié, svp. » J’attends un peu, espérant une réponse et elle arrive par un nouveau SMS. «Ok si tu fais bien ce que je dis. Vraiment très bien, sinon. » Pressée d’en finir avec ce show immonde que l’on m’impose, je m’exécute. J’écarte ostensiblement les pieds et reprends ma position indécente, le cul en l’air. Bien sûr, la robe que j’avais remise en place remonte aussitôt me découvrant le postérieur. Malgré moi, je ne peux m’empêcher d’imaginer la vue que j’offre ainsi, ma robe s’arrêtant au milieu des fesses, jambes écartées. Ma chatte doit être bien visible pour peu que l’on s’attarde sur le sujet. Ce que ne doivent pas manquer de faire tous ceux qui m’observent. Nouvelle sonnerie du téléphone : «Penche-toi plus. » J’obtempère me penchant aussi bas que possible, jouant avec les annonces placées au pied du panneau. Je garde la position quelques minutes, consciente de la vue que j’offre, la vitrine n’aura jamais eu autant de succès. Puis je décide qu’il y en a assez. Je me redresse, replace ma jupe dans sa position la plus basse et quitte la place. Alors que je me précipite vers mon bureau, mes seins ballottant encore plus qu’à l’aller lors de mon passage, le téléphone sonne, nouveau SMS : «Salope, je ne t’ai pas dit de ...