1. Sixties' folies


    Datte: 14/09/2017, Catégories: hagé, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation pénétratio, init, confession, humour,

    ... l’eau à la bouche… Enfin, façon de parler parce que je sais bien ce que je ressentirais à ce spectacle si je n’étais pas que de papier. Croyez-moi, j’ai encore aujourd’hui souvenir de cette sensation divine : se sentir fondre littéralement dans certaines situations… À propos de liquide, comme c’est mignon cette petite goutte translucide que je vois se former sur le méat. J’aimerais tant qu’une bonne fée arrive là, maintenant, et PFUUIT, d’un coup de baguette (pas de dérapage SVP, la fée n’a pas de braguette, voyons !) elle me redonnerait vie. La vie pour prendre en bouche ce vit ! Décidément, c’est mon jour pour ce qui est des calembours les plus craignos (oui, oui, je m’adapte à ce nouveau vocabulaire que j’ai entendu si souvent sur le quai). Il a lâché la hampe qui n’a nul besoin de soutien d’ailleurs. Effleurant à peine de l’index le méat, il a recueilli la petite goutte et commence à lubrifier le gland d’un mouvement circulaire. Quelle douceur dans le geste, et comme j’envie ce doigt… Ou bien, plutôt, comme j’aurais envie de ce doigt que j’imagine parcourant avec cette même douceur la fente encore close de mon sexe jusqu’à en faire sourdre la chaude humidité qui l’emplit, avant de se glisser sans effort vers mes petits intérieurs douillets. À propos de chairs intimes, le gland me semble avoir encore pris du volume et l’afflux de sang lui donne maintenant une couleur qui tourne au violacé… Comme c’est beau ! Le doigt s’attarde sur le frein, petite languette de chair ...
    ... qui, si mes souvenirs sont encore bons, était le mets de choix pour ma langue quand j’avais décidé de rendre fous de désir mes amants. À genoux sur le lit défait, je me positionnais entre leurs cuisses, la tête relevée pour mieux planter mes yeux dans les leurs et je titillais léchais délicatement ce petit bout de chair tout en serrant d’une main la hampe, l’autre main étant occupée par les testicules. Il me semble encore entendre les soupirs de certains d’entre eux… Meuh non. Ce que j’entends ce sont de vrais soupirs. C’est LUI qui donne du son. IL ouvre les yeux et reprend sa lecture : La main s’est à nouveau saisie du sexe et l’a serré avant d’entreprendre un mouvement de va-et-vient dont le rythme va crescendo… La lecture a cessé et IL a fermé les yeux, sans doute pour mieux imaginer la scène. Pour ma part, je suis fascinée par ce qui se déroule à quelques centimètres à peine de moi. On a beau être de papier, on n’est pas de bois (hi hi ! Encore une qu’il faudra replacer). Ah, ce bel objet au gland luisant que l’on astique (oui, je sais, l’expression est vulgaire, mais, que voulez-vous, dans ces moments il m’arrive de laisser craquer le mince vernis de mon éducation !) Et j’imagine son odeur, son goût ce goût unique pour chacun de mes anciens amants. Je commence à délirer : je les imagine, nus, m’entourant. Je suis à quatre pattes, nue moi aussi, les yeux bandés, et je vais de l’un à l’autre, ma belle poitrine se balançant à chaque déplacement, pour essayer de deviner leur ...
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