L'INCONNU DU CINEMA (7)
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... long de ma raie lubrifiant la totalité du sexe au passage. Marc la aussi constaté et est venu frôler mon clitoris de ses doigts, caresse légère mais qui dans mon état d’excitation ma complètement électrisé au point que mon corps à fait un brusque soubresaut sur l’engin de torture. Rien de mieux pour me rappeler que j’étais fermement attachée et décupler mon sentiment d’humiliation. Marc s’est retournez vers le Maître et lui à dit : — Elle est prête, Monsieur — Merci mon ami, et bien messieurs nous allons commencer les enchères Non, je n’avais pas rêvé, il allait me vendre aux enchères comme un vulgaire putain, mais il était ignoble et ça dépassait tout ce que j’avais subit d’humiliation jusqu’à là. Mais Marc anticipa encore ma réaction, discrètement il me branlait le clito avec son pouce libérant des ondes de plaisir dans mon ventre, cela finissait par anéantir ma colère jusqu’à me déculpabiliser d’être traité comme une prostituée. Après tout, qu’on me baise gratuitement ou qu’on me baise en payant où était la différence sinon dans le niveau d’humiliation, cela pouvait même ajouter au plaisir de savoir que des hommes étaient prêts à payer pour me pénétrer. Pour couronner le tout, Marc me chuchotait doucement à l’oreille : — Vous mouillez, petite salope, vous devriez avoir honte — Humm… mais c’est…trop… bon — Vous aimez ça… être notre petite pute… hein ? — Humm… non… humm… oui … votre pute… humm… oui — Messieurs, la saillie est à mille euros, des volontaires ? Ils se sont ...
... tous levés brandissant des billets à la main pour venir approcher de la marchandise que certains on immédiatement commencé à tâter, les seins, les cuisses et les fesses, tout mon corps leur était livré sans retenu. — Doucement messieurs, voyons que vas t-elle penser de vos manières primitives, restons civilisés, croyiez moi il y en aura pour tous, elle est insatiable. Marc à récupéré l’argent que les huit ont payé et à déposé la totalité près de mon visage, je regardais ses hommes qui se déshabillaient rapidement autour de moi et l’argent qui faisait de moi une putain, leur putain. J’étais comme dans du coton, tout ce mélangeai dans ma tête et je n’arrivais plus à raisonner convenablement, il ne me restait que le plaisir qui commençait à m’envahir le corps tout entier. J’apercevais maintenant tous ces sexes, petits, gros et même énormes pour l’un d’entre eux, certains bandaient déjà alors que d’autres avaient encore besoin d’être astiqués. J’étais au centre de cette multitude et je ne distinguais plus les visages seules les bites m’importais et étonnamment je les voulais toutes et vite. — Allez messieurs, à qui l’honneur ? C’est le plus âgé de tous qui s’est placé entre mes jambes le premier. J’ai senti la table descendre de quelques centimètres, car ils avaient tout prévu, un vérin électrique réglait la hauteur en fonction de la taille de l’homme qui se présentait à la manœuvre. Mon état d’excitation était tel que je n’avais qu’une hâte, qu’on me baise et vite. Le premier de ...