1. L'INCONNU DU CINEMA (7)


    Datte: 14/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... que je ne ressentais plus grand-chose en moi, mais en regardant j’ai aperçu que c’était le tour de la plus petite bite du groupe. Mais il avait néanmoins du savoir faire car il compensait sa petite taille en glissant en même temps dans ma chatte un de ses pouces, alors qu’il posait sa main sur mon clitoris auquel il faisait d’agréables pressions cadencés. Puis il rajouta l’autre pouce en plaçant ses deux mains de chaque coté de ma vulve tout en laissant les deux majeurs me titiller le petit bouton, ainsi il augmentait considérablement la taille de son engin, resserrait mes muqueuses autour de sa bite et ne tarderait pas à me faire redécoller à force de me branler le clito. Je n’avais pas fini de le penser, que ma jouissance à de nouveau explosé et que lui même n’a pu retenir la sienne. — Haaaaa… c’est….trop….je jouiiiiiiiiieeeee…. — Putain…..cette salope est….trop bonne… A peine remise de mes émotions que le suivant sait présenter devant ma chatte. C’était un des deux gaillards qui me faisaient peur, le regard toujours aussi dur il me fixait en frottant son membre le long de ma fente gluante. Il était sur de lui et conscient d’avoir une très belle queue à me proposer, c’était surement la plus grosse que j’ai jamais pu voir de ma vie. Même dans les films que mon mari m’avait fait voir je n’en avais pas vu d’aussi grosse et longue. L’engin faisait au moins vingt cinq centimètres et ma main n’aurait surement pas pu en faire le tour au regard de la grosseur, je pense que celle là ...
    ... j’allais la sentir passer. Il posa le gland violacé au centre de la raie et commença à pousser pour écarter mes chairs, rien que le gland avait du mal à me pénétrer malgré l’importante lubrification. Mes chairs s’écartelaient lentement, le salaud prenait son temps pour apprécier le moindre frisson visible dans mes yeux, centimètre par centimètre son membre tentait de me remplir. Mon regard restait figé sur la colonne de chair qui m’écartelait à la limite de la déchirure et je devais serrer les dents pour ne pas crier de douleur. Plus je montrais que j’avais mal et plus ce salaud semblait prendre son pied, à chacune de mes grimasses se sentais son sexe frémir et prendre du volume dans ma chatte. — Alors putain… tu n’en as jamais pris d’aussi grosses ? Le salaud ne se gênait pas pour me tutoyez comme pour m’humilier encore plus et devant l’absence de réponse il m’a administré une magistrale claque sur la fesse qui m’a fait sursauter ainsi que tous les autres pervers près de moi. La douleur sur la fesse était très vive et m’a fait presque oublier celle de ma chatte. — Alors salle pute, tu en as déjà pris dés comme ça ? — Non…Aie…Non… En relevant sa main comme pour me fesser de nouveau il répéta : — Non qui ? — Non…Monsieur…Aie… Mais la claque s’est abattue de nouveau avec un bruit sourd — Aiiieee…non…non… — Non quoi ? — Non… monsieur… jamais une…aussi… grosse… — Voilà, c’est mieux… je vais t’apprendre moi. Mais son sexe n’entrait toujours pas à fond, maintenant j’avais mal a la ...
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