1. Sans caméra... on y gagne !


    Datte: 05/12/2019, Catégories: fh, couple, fépilée, amour, vidéox, massage, intermast, entreseins, Oral préservati, pénétratio,

    ... voit plus trop.— Ok, chouette programme, quoi. Avoir une vie normale et tranquille ! Et pardon, pour "Cindy". Le réflexe, en fait. Donc, rien de prévu, Lucienne… Le silence revient un peu et, quelques instants après, Rodrigue se retient vainement de pouffer. — Qu’est-ce qui t’arrive ? Pourquoi tu ricanes ? je lui lance.— Bah, c’est tout bête, mais je suis en train de penser que t’as bien fait de changer de nom pour ta carrière, car Lucienne, dans le porno, c’est pas ce qui se fait de mieux !— C’est malin ! Lâche-moi sur le prénom ! Remarque, tu n’as pas tort. En même temps, c’est un bon moyen de marquer les esprits ! "T’as vu le nouveau porno, avec Lucienne !" Et arrête-toi, on est arrivé ! Il arrête la voiture dans un début de rire général. Je sors du véhicule en le remerciant pour le transport et, enfin, j’ouvre la porte de mon petit appartement. Home, sweet Home… Je dépose mon sac dans le couloir, fonce, telle un zombie, vers la salle de bain et, rapidement, me glisse sous le jet brûlant de la douche. Enfin, je me réchauffe et surtout j’oublie peu à peu toutes les péripéties de la journée. Le corps immobile, le souffle presque imperceptible, j’évacue le stress, la fatigue, toutes les traces laissées par mes multiples partenaires de la journée. Ma longue chevelure brune tombe le long de mon dos qui me fait mal, en raison des postures à tenir pendant de longues, très longues minutes. Même mes seins sont une souffrance, tant de fois malaxés et écrasés. Usée, je reste ainsi ...
    ... durant quelques minutes réparatrices. Je sors de la cabine de douche et je m’essuie calmement. Toute la fatigue et les douleurs du tournage éreintant s’échappent, comme la vapeur dans la salle de bain. J’enfile ensuite mon peignoir rose, une couleur si reposante. Je me dirige vers le salon et m’affale dans mon grand fauteuil. À demi-endormie, j’attends paisiblement que le temps passe. Au bout d’un long moment, j’entends un bruit familier. Une clé qui claque dans la serrure et le grincement de la porte d’entrée. Des pas souples et conquérants, puis une ombre qui s’allonge sur le parquet : celle de mon chéri, l’homme de ma vie ! Sa tête dépasse de l’embrasure de la porte, il me voit et me sourit aussitôt. — Bonsoir, ma princesse, ça va ? Il se rapproche de moi et dépose un baiser sur mon front. Je lui réponds : — Bonsoir, mon p’tit homme… Je t’attendais.— Oh toi, tu as une petite mine ! Je sais ce qu’il te faut. Ne bouge pas, je m’occupe de tout. Repose-toi, ma chérie. Mon homme termine sa phrase par un délicat sourire, puis il se dirige vers la cuisine et je l’entends préparer le repas. Pendant ce temps, il me laisse tranquille, me ressourcer. Il sait que j’en ai besoin après une journée de tournage. Il a l’habitude de me voir assise dans mon fauteuil avec mon peignoir rose, un cadeau qu’il m’a fait. Tant que je n’ai pas pris de douche, il n’a pas le droit de me toucher. C’est une étape nécessaire pour moi, pour notre couple. Enfin, il revient avec un plateau contenant deux ...
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