1. Sans caméra... on y gagne !


    Datte: 05/12/2019, Catégories: fh, couple, fépilée, amour, vidéox, massage, intermast, entreseins, Oral préservati, pénétratio,

    ... aride, en contraste avec mon bas-ventre. Nos ébats se poursuivent par de multiples échanges de baisers, de caresses. Mon homme est pris dans une sorte de transe, il me chevauche, donnant à ses coups de hanches de brillantes inclinaisons. Je perçois ainsi toute la longueur et la grosseur de son sexe. J’approche mes lèvres de sa tendre bouche et je lui dis : — Oh, c’est bien ! Tu sais pas ce que tu me fais, c’est trop bien, t’arrête pas…— Ou… ? me répond-il avec audace.— Ou je te tue ! Nous rions de cette réplique, tout en continuant notre danse érotique, son corps en osmose avec le mien. Toujours en proie à ses pulsions, je gémis sans me forcer, pour exprimer tout le bien-être qu’il me procure. Peu à peu, au fond de mon ventre, une pointe apparaît. C’est à la fois une douleur et une jouissance qui perfore de plus en plus mon intérieur. Cette pointe se transforme en boule. À présent, je me concentre sur les muscles brûlants de mon vagin, sur chaque va-et-vient. Soudain, la sensation devient trop forte. J’agrippe l’épaule de mon bienfaiteur, je le griffe, lui laissant une marque de mon plaisir. Ma gorge expulse un cri qui se transforme en un souffle long et puissant. Ma tête s’agite d’avant en arrière, mon corps se crispe et, d’un coup, se détend… Je jouis intensément. Mon cœur bat comme un fou, puis ...
    ... semble s’arrêter. Mon compagnon accélère la cadence au moment où il sent le début de mon orgasme, ce qui fait que je jouis encore plus fort, plus intensément. Il ralentit ses impulsions et me regarde savourer cet instant. Mon visage est calme et détendu, plus aucune trace de stress et de fatigue. Bien au contraire, une profonde quiétude m’envahit soudainement. Mon amour passe sa main dans mes cheveux, et il m’embrasse comme on le fait lorsque l’on aime avec passion. Ses reins remuent, le temps d’un ultime assaut, et il pose sa tête sur le creux de mon épaule. À son tour, il jouit. Il s’allonge de tout son poids sur moi, vaincu par l’allégresse. Nous restons ainsi, inertes. L’un sur l’autre, comme un seul corps, un seul souffle. Puis il se retourne et se met sur le flanc, à côté de moi. Nous nous observons, ses doigts parcourent mes formes. Alors, je savoure le délice de ce moment, car ici, nulle caméra, nul réalisateur pour arrêter cette séquence, bien inutile dans les films. Non. Maintenant je m’installe, me blottis dans ses bras qui m’isolent du reste du monde. Son sexe mou se pose sur ma cuisse. Pas besoin de caméra, car tout ce qui vient de se passer est gravé dans ma mémoire, dans mon cœur. Je suis bien loin des films et bien plus près des sentiments et, croyez-moi : sans caméra, on y gagne ! 
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