1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes


    Datte: 05/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... quelques années de distance, un épisode qui s’était déroulé, dans des conditions comparables, à l’initiative de Rachid. Je n’imaginais pas cependant que j’allais, à 38 ans, me comporter de cette façon, prouvant que j’étais, plus que jamais, hypersexuelle. Par élémentaire prudence, en accord avec la personne concernée, j’appellerai celui qui fut, pendant ces vacances d’été, mon nouveau mâle, « N ». Nous étions à la plage et les filles étaient restées avec ma mère. Nous prenions le soleil, un peu à l’écart du gros des baigneurs, mais on nous voyait parfaitement. Philippe, qui a la peau fragile, s’était mis un peu à l’écart, à l’ombre, sous un parasol. De mon côté, je portais un bikini ultra-sexy. J’installais ma serviette, me plaçais sur le ventre et retirai le haut. Je ne conservais que le mini-string de bain, qui dévoilait mes fesses et cachait à peine mon sexe. Mes lecteurs savent que je suis exhibitionniste et que j’adore exciter les mâles. J’avais pu constater lors d’une promenade sur la plage, un peu avant, l’effet que je continuais à susciter, malgré mes 38 ans et mes maternités, chez les hommes. Je prends soin de mon corps, je suis sportive, et de l’aveu de ceux qui ont l’occasion de m’honorer, je suis toujours aussi désirable. Me seins sont toujours petits, fermes et sensibles, même si la maternité et l’allaitement ont un peu développé ma poitrine. Philippe s’était assez rapidement et profondément endormi. C’est alors que j’ai remarqué ce bel homme, très grand, ...
    ... musclé, viril, grisonnant, il devait avoir aux environs de la cinquantaine. . Il posa sa serviette très près de nous. Je faisais semblant de lire, mais j’observais son manège à travers mes lunettes de soleil. Il n’était pas là par hasard, il m’avait repéré et me matait avec insistance. Je constatais aussi qu’il se rapprochait insensiblement. Un moment, il se mit sur le dos et je constatais à cette occasion que ce type avait une érection que son maillot cachait très difficilement. En connaisseuse, je savais qu’il avait un calibre comparable à celui de Rachid ou d’Hassan. Je constatais aussi que la pointe de mes seins durcissait et que ma chatte était trempée, signe que j’avais envie. J’étais sur une plage où il y avait du monde. C’était de la folie, une fois de plus ! Le type avait remarqué que je le regardais à mon tour. Il s’enhardit, descendant un instant son slip de bain pour exhiber une superbe verge circoncise, avec un large gland et des couilles lourdes. J’avais envie, mais je me suis retenue, vu le lieu où nous étions. Le sourire que je lui ai adressé valait toutefois tous les encouragements. • Monsieur, mon mari dort profondément, mais j’aurais besoin de crème solaire sur le dos, ça ne vous dérange pas ? • Au contraire. Avec plaisir ! Il s’est approché et il a pris mon huile solaire. J’avais compris qu’il était du pays et me suis mise à lui parler dans notre langue. • Tu es d’ici ? On peut se tutoyer ? Je m’appelle N. • Je m’appelle Olga, mon mari Philippe est français mais ...
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