1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes


    Datte: 05/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... je suis d’ici. • Je suis au même hôtel que vous. Je t’ai repéré. Je ne suis pas ici par hasard. • Tu penses que je suis une épouse volage ? • Mon instinct me dit que ton mari ne doit pas te suffire. • En attendant, commence par me protéger des brulures du soleil, pour le reste, on verra ensuite ! Il enduisit ses mains d’huile solaire et de crème et pendant un quart d’heure prit soin de bien de bien me recouvrir. Pas un endroit de mon corps ne fut oublié. Ce type était doué pour les massages, qui, peu à peu, devenaient des caresses. Je me sentais infiniment bien. Il insista sur mes fesses, mes épaules. Ses mains étaient à la fois douces et fermes. L’huile coulait dans ma raie culière et dans ma chatte. N en profita pour aller explorer mes deux intimités avec ses doigts. • C’est bon, continue, j’adore ! • Tourne-toi, il faut aussi protéger le devant ! Je lui obéis et il se mit à mettre l’huile solaire sur le devant de mes jambes, puis il se mit à s’occuper de mes seins. Sous prétexte de mettre de l’huile solaire, il me malaxait les seins et titillait avec ses doigts mes tétons qui étaient durs de désir. Je n’en pouvais plus et ça m’excitait qu’il faisait ça à proximité de mon mari, et alors que les autres plagistes n’étaient pas très loin, et que certains avaient remarqué notre manège. Je voyais aussi que N bandait comme un âne, au point que son gland dépassait de son maillot de bain. Je me suis redressée, j’ai mis la main sur son maillot et commencé à caresser son engin. ...
    ... Je lui offert mes lèvres et nous avons échangé un long baiser. Dans ses bras, je sentais son désir. L’homme était possessif et sa langue enroulait la mienne, il mordait mes lèvres. Je me blottissais dans ses bras. • Oh N, j’ai envie. Mais ici, ce n’est pas possible, on nous observe. • Si je comprends bien, ça ne te pose aucun problème de faire ça en étant si proches de ton mari. J’ai remarqué qu’il aimait t’exhiber ! • Philippe est candauliste et ça fait plus de dix ans que je me fais prendre devant lui. Il adore ça. Ca te choque ? • Pas du tout, si ça lui fait plaisir ! Cette nuit, vous venez dans ma chambre et il ne sera pas déçu. Toi non plus, ma chérie ! • On fera ça, je serai à toi toutes les nuits de notre séjour ici. Mais j’ai envie maintenant. • Moi aussi figure-toi. Nous fûmes interrompus par une femme, qui nous apostropha, furieuse : • Dites donc, vous ne pouvez pas faire vos cochonneries ailleurs ? C’est intolérable, je vais appeler la police. Je me suis dirigée vers cette mère de famille, qui devait avoir la trentaine, une jolie brune avec une poitrine arrogante. Je la pris dans mes bras, elle se laissa faire faire, puis je déposais un baiser sur ses lèvres. Voyant sa passivité, je l‘embrassais à nouveau, mais cette fois carrément. Elle répondit à mon baiser, tandis que mes mains caressaient sa poitrine. Elle me laissa fouiller son intimité. Mon instinct ne m’avait pas trompé, elle mouillait : • Tu t’appelles comment ? • Théodora • En fait, ce que nous faisons ...
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