1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes


    Datte: 05/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... rein il pointa son gland à l’entrée de ma moule. N défit mon string-ficelle, qui partit au loin. J’étais nue désormais pour regagner la plage, mais je m’enfichais complétement. Oh ouiiiii N j’ai envie que tu me prennes. Il appuya plus fort sur mes fesses m’attirant vers le bas m’empalant lentement le long de sa bite. Je sentis mes chairs s’ouvrir sans résistante et même au contraire avaler avec délice cette douce queue les lèvres et les fesses caresser par la houle. N resta immobile plantant ses yeux dans les miens : • hum c’est divin, tu es délicieuse, je te sens m’accueillir et m’enserrer en douceur tu es si chaude tu sens ma queue écarter ta moule t’aime ? Embrasse-moi ma belle Il m’attirait à lui enfonçant un peu plus sa pine dans mon trou puis me relâchant me faisant remonter et ressortir ma queue. J’appréciais cet acte sexuel au milieu de la mer. N correspondait au type d’homme qui me font craquer physiquement, ajouter à son audace, à la beauté de sa queue et sa douceur , au vue de l’état d’excitation précédent je prenais beaucoup de plaisir à sentir sa bite aller et venir dans ma chatte si bien que j’avais envie de le sentir aller plus loin accéléra le rythme me faire jouir fort. Il continuait à appuyer sur mes fesses m’amenant à la limite de boire la tasse puis me relâchant me remontant faisant coulisser sa queue lentement dans ma moule. J’enroulais mes jambes autour des hanches et m’empalait sur sa queue. Toutefois la profondeur de l’eau faisait que ce n’était ni ...
    ... idéal, ni facile, même si N assurait très bien. • Olga, je te propose un endroit plus confortable. Allons dans la pinède et là je te baiserai comme une chienne. • Je suis nue que vont penser ces gens ? • Que tu es une salope qui va se faire mettre dans la pinède. C’est la vérité, non ? • Oui, de toute façon j’en ai trop envie. • On va sortir dans cette direction. Il y a là quelques amis avec qui j’avais parié que je te baiserai aujourd’hui. Je veux qu’ils assistent à mon triomphe. • Macho, va ! Si ça te fait plaisir ! Nous sortîmes de l’eau main dans la main à l’endroit où se trouvaient ses amis, une compagnie d’une dizaine d’hommes. Ils applaudirent le triomphe de N. N prenait son temps pour m’exhiber. Il m’embrassait fougueusement, me caressait. Si la police avait été là, nous étions embarqués pour attentat à la pudeur. • Tu nous avais dit, N, que c’était une salope, tu avais raison ! • Et son mari ? • Son cocu dort profondément. Mais ne vous inquiétez pas, il adore que son épouse se fasse prendre par d’autres mecs. Sauf que cette fois, il n’est pas à la manœuvre. Bon maintenant excusez-nous, mais elle a envie et moi aussi. Olga, dis à ces Messieurs ce que tu veux ! • Je veux que tu me sautes, N. J’ai envie que tu baises tous mes trous, j’ai envie d’être ta femelle. • Tu es à moi pour toute la durée de ton séjour sur cette ile, chérie. Et si vous voulez mater, ne vous gênez pas, on va dans les dunes. Et comme elle a de gros besoins, quand j’en aurais fini avec elle, elle sera ...
«12...456...»