1. La jouissance pour feuille de route


    Datte: 06/12/2019, Catégories: fh, 2couples, vacances, sauna, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession, entrecoup,

    ... de l’acte. Mon mari a-t-il déjà enculé une autre femme que moi ? Lorsqu’il me prend à son retour, la bite qui me bourre a-t-elle exploré des contrées plus sauvages ? C’est bon. J’aime cette force. J’aime me sentir avilie, dominée par mon « mâle de mari ». Enfin il vient. Il m’inonde les entrailles. Son foutre me brûle. C’est agréable. Il continue un moment, brassant sa propre liqueur. Plus tard. Au lit, dans une obscurité complice qui libère la parole nous parlons. À l’homme qui vient de me posséder sans ménagement j’avoue l’étrange sensation ressentie. À l’homme que j’ai vu baiser notre amie, j’avoue la découverte du plaisir apporté par cette vision. Lui, avoue que, s’il se sentait coupable de baiser d’autres femmes, il imaginait que c’était moi qu’il faisait crier de plaisir et aussi combien il aimait me prendre à peine sorti de la chaleur d’une autre femme. Le lendemain, il est évident qu’Hugo a parlé à sa femme. La façon dont elle me sourit est une preuve. Alors me vient l’envie subite de me confier. Je n’ai jamais parlé de mes interrogations et de mes recherches à personne. Marie me paraît si proche qu’elle devient ma confidente. J’apprécie la façon dont elle a de m’écouter et surtout de ne pas me juger. Elle est sincèrement heureuse qu’elle et son mari aient été les déclencheurs de ma découverte. La journée se passe délicieusement. Je suis heureuse et comme libérée. Le soir, le dernier soir avant le retour en France, nous fêtons nos vacances, notre rencontre, ma ...
    ... sexualité naissante. La piste de danse est le témoin privilégié de ma liberté. C’est moi qui entraîne Hugo et qui me frotte à lui. Je me frotte à lui et Paul n’est pas en reste avec Marie. Nous nous regardons. C’est bon, cette complicité nouvelle. C’est moi qui propose que nous allions dans notre chambre pour un dernier verre. Le clair de lune sur la terrasse est un aimant. Tout naturellement je suis avec Hugo pendant que Marie se lance dans la séduction de mon mari. Tout paraît si simple. Assise sur les genoux d’un homme qui me caresse sans gêne, alors que nous regardons nos époux se caresser et se dévêtir, je me sens bien. Sentir la verge d’Hugo gonfler alors que moi je me sens « toute chose » est le début du bonheur. Ils vont faire l’amour devant nous. Nous allons regarder, et puis, après… Mais Marie quitte mon mari. Elle fait les quelques pas qui nous rapprochent. Elle est face à moi. Nue, à l’aise. Elle me tend la main. Pas un mot, mais une lueur dans le regard, un sourire furtif sur les lèvres. Je me lève, quitte les bras de mon amant. Je suis encore habillée, mais les quelques boutons détachés de mon corsage me font paraître plus débraillée et plus provocante que la nudité assurée de Marie. Paul est derrière elle, à quelques pas. Lui aussi fait débraillé, la chemise enlevée, la ceinture détachée, la braguette négligée. Il regarde. — Allons dans la chambre. Ces quelques mots s’adressent plus aux hommes que moi. Moi, elle me tient par la main et je la suis. La baie vitrée ...
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