1. De Julien à Julie (12)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Transexuels

    ... déhanche en marchant, un peu pour ça aussi. A midi, je le remarque au fond du couloir et, quand je passe devant lui, il me fait un petit sourire en me tendant, discrètement, un papier plié en deux. Je continue mon chemin et attends d’être isolée pour en prendre connaissance. Il me donne un rendez-vous en début de soirée et précise l’adresse de son domicile. Pour me préparer à ce rendez-vous, je choisis une jupe courte en cuir noir, des bas couture, une paire de bottes cuissardes à talons aiguilles, une culotte en dentelle rose et un chemisier de soie de la même couleur. Il n’habite pas très loin de l’appartement et je décide d’y aller à pied. Je fais sensation et me fais reluquer par tous les automobilistes qui me croisent sur le chemin. Il ne faudrait pas que je provoque un accident de la circulation ! Quand j’arrive sur place, il m’accueille sans effusion, cherchant à garder contenance, mais je remarque ses yeux vagabonder sur mes jambes. En outre, je remarque également, qu’il s’est apprêté pour me recevoir. Ses cheveux sont encore humides d’une douche récente, de plus, il est rasé de près et sent bon l’eau de toilette ou l’après rasage. Il me fait m’installer face à un bureau et me propose de faire une épreuve, sous forme de Question à Choix Multiple, pour évaluer mes lacunes. Je m’applique à répondre aux questions, tout en sentant son regard sur mes épaules. Il fait semblant de vaquer à ses occupations, mais je sais bien qu’il me reluque en douce. Il faut dire que j’ai ...
    ... peut-être trop déboutonné mon chemisier, et que, j’ai une épaule complètement dénudée. Surtout que je me penche volontairement sur le coté pour faire glisser la soie. Mon chemisier est si provoquant qu’il doit, en plus, remarquer que je ne porte pas de soutien-gorge et que mes tétons sont dressés, car je ne cesse de les attiser discrètement pour les faire mieux saillir. A la fin de l’exercice, il prend une chaise et s’assied près de moi. Il saisit mon papier très professionnellement et dit : — Bon ! Je vois où sont les problèmes ! Il se tourne vers moi, fixe à nouveau mon épaule provocatrice, et se met à rougir. Il se permet, toutefois, de la recouvrir avec délicatesse. Je lui dis, en bombant le torse, à faire transpercer mes tétons : — Oh merci, monsieur ! C’est gentil ! Il est rouge pivoine de voir ma poitrine jaillir et se tourne pudiquement pour reprendre le questionnaire. Il frémit et a du mal à parler. En effet, je me suis rapprochée de lui et mon genou effleure le sien. Il fait mine de ne pas s’en apercevoir, mais je sens bien, petit à petit, sa jambe tremblante se presser contre la mienne. Son élocution devient hachée et son émotion le fait chevroter, quand il tente de m’expliquer des choses. Je fais semblant d’être intéressée par ses propos, mais discerne bien son trouble. Je me risque alors à poser une main sur sa cuisse, ce qui le fait tressaillir, mais il ne me repousse pas. Il s’enhardit même à poser ses doigts sur mon genou, en essayant de poursuivre son discours. ...