1. De Julien à Julie (12)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Transexuels

    ... me labourer comme je l’aime et mes couinements l’incitent à poursuivre ses assauts. — Oh oui ! C’est bon ! J’aime ta queue ! Baise moi fort ! — Je vais te baiser petite salope ! Tu veux m’allumer, et bien, tu vas voir ce que je vais te mettre ! Le gentil prof tout timide se transforme en bête enragée. Toute son animalité ressort pour me saillir. Il me donne de grands coups de reins qui me font perdre l’équilibre, mon collier et mes boucles d’oreille se balancent dans tous les sens, tant je suis secouée par ses coups de butoir. Je cherche à me cramponner au bureau pour mieux le sentir me perforer. Il continue à me mordre le cou, à me pétrir la poitrine ou le sexe. Il se révèle si doué pour m’exciter, que j’envoie mes jets de semence sur le bureau. Il ne me laisse pas de répit et continue à me sabrer, durant un long moment, pour finir par me féconder en me maintenant par les épaules. Bon sang, comme il baise bien ce mec ! Je le croyais éjaculateur précoce, et là, ça fait au moins une demi-heure qu’il me laboure. Je voulais ça et j’ai été servie ! Tout en fumant une cigarette, Bernard, puisque c’est son prénom, m’avoue qu’il m’observe depuis un moment et qu’il n’avait pas de doute quant à mon ...
    ... genre. En l’obligeant un peu, il concède que depuis son divorce, il avait envie de revivre des expériences, qu’il avait eues avec un garçon, étant plus jeune. Profitant de cette intimité, je le félicite pour sa manière de sucer et que j’ai beaucoup apprécié sa virilité pour me prendre. — Tu sais Julie, ce n’est pas dans mes habitudes de faire ça ! Je suis doux avec les femmes, d’ordinaire ! C’est toi qui as semé tout ce désordre dans mon esprit. Je pense à toi tous les jours. Dans mes rêves érotiques, tu es tout le temps présente ! — Et dans ces rêves, tu me violes comme tu viens de le faire ? — Oh non ! C’est plus souvent toi, qui es sur moi ! — Si c’est ça dont tu en as envie, il va falloir que tu me suces un peu, pour me redonner vigueur ! Avec empressement, il s’exécute parfaitement avant de se mettre à quatre pattes pour m’attendre. C’est avec beaucoup de douceur que je le sodomise avant d’éjaculer dans sa gorge.. Je me dis que, décidément, je suis dans ma période « prof », deux en vingt-quatre heures. Mais quel délice dans les deux cas! Je rentre à la maison, un peu fatiguée par ces turpitudes. Je me prélasse dans le bain quand Patrick m’appelle, pour me raconter les siennes de turpitudes… 
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