1. Robe noire, chaussures rouges


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, inconnu, caférestau, Oral pénétratio, coupfoudr, occasion,

    ... de matériel électronique, de morceaux de bois que j’utilise pour faire des prototypes, de vieux CD-Rom inutilisables. La cuisine ne ressemble à rien, tellement il y a du bordel ! Je n’ai pas le choix, et je me mets immédiatement à l’œuvre pour nettoyer cette porcherie. Je commence par le désordre. Et, pour me faciliter la tâche, je jette la plupart du barda dans des sacs-poubelle que je mets dans le bureau. Quinze heures trente-neuf. Je suis en sueur. Le salon et la salle à manger ressemblent plus ou moins à quelque chose de correct. Je vais chercher l’aspirateur, ça devrait aller assez vite. Quinze heures cinquante-cinq. Maintenant que le living a retrouvé un visage acceptable, je me fais la cuisine. Une vaisselle plus tard, je me rends dans la chambre. Re-aspirateur. Je passe aussi un coup de chiffon sur les meubles. Qu’est-ce qu’on peut accumuler comme crasse chez soi ! C’est incroyable. Merde… je n’ai pas passé le chiffon au salon ! Hop, retour dans le séjour pour une séance d’époussetage. Seize heures trente-quatre. La salle de bain a aussi besoin d’un bon récurage. Je fais d’abord le lavabo, le miroir, puis le sol. Je suis en sueur. Je vais chercher un essuie propre et me prends une douche. Je suis crevé. Je n’ai pas l’habitude de faire ce genre d’activité. La douche me fait du bien. L’eau tiède ruisselle sur mon corps. J’ai une petite bedaine qui me déplaît. Mais comme je ne fais pas de sport, c’est un peu normal. Je me savonne abondamment. Seize heures ...
    ... cinquante-deux. À peine sorti de la douche que j’entends la sonnerie de la porte d’entrée. Pffffffffffffffff… Je m’éponge rapidement, j’attrape ma sortie de bain, et me dirige vers le parlophone. — Oui ?— C’est Marie.— C’est au troisième, appartement de gauche. Je pousse sur le bouton d’ouverture et j’entrouvre la porte d’entrée de mon appartement. Je cours vers la salle d’eau pour me sécher correctement. Je perçois un mouvement derrière moi qui me surprend et me retourne d’un bond. Marie est là, debout devant moi, dans l’encadrement de la porte. Son sourire est toujours là. Elle me regarde telle une enfant devant une friandise. Elle s’approche, avec une lenteur exquise. Elle se colle littéralement à moi et m’embrasse délicatement les lèvres. — Ça fait longtemps que je n’ai plus vu un homme nu, me murmure-t-elle à l’oreille. Je ne dis rien. Elle continue ses tendres baisers. C’est doux. Cela fait belle lurette que je n’ai plus embrassé une femme. Je sens mon sexe qui frémit légèrement. — Tu m’as obéi, c’est bien, me chuchote-t-elle encore.— C’est que… j’ai été un peu pris par le temps. Je ne peux m’empêcher d’être honnête. — Et toi ? M’as-tu obéi ?— Bien sûr, me susurre-t-elle. Tu veux vérifier ?— Non, pas tout de suite, lui dis-je dans un souffle. Elle pose ses mains sur mes épaules, et elle continue à m’embrasser. Je l’enlace. Mes doigts se rejoignent derrière son dos. Comme j’ai quelques centimètres de plus qu’elle, je plie les genoux pour être à sa hauteur. Mes mains, du coup, ...
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