Robe noire, chaussures rouges
Datte: 08/12/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
Oral
pénétratio,
coupfoudr,
occasion,
... descendent un peu plus et glissent sur ses fesses. Les siennes sont fermes et généreuses, sans être pour autant énormes. Un beau cul. Vraiment. Je ne sais pas si elle porte des collants ou des bas… Mes doigts n’arrivent pas à le déterminer. Je plie encore les genoux pour me retrouver assis sur le rebord de la baignoire. Maintenant c’est elle qui me toise. Je lui enlève la veste et la jette sur le côté. Mes yeux sont à la hauteur de sa poitrine. J’approche mon visage et l’appuie délicatement contre son buste, comme un oreiller. Pas volumineux, mais moelleux et ferme en même temps. Je sens ses doigts se faufiler sous mon visage… Elle déboutonne son chemisier. Je me recule pour pouvoir admirer son manège. Un bouton toutes les trois secondes… Lorsqu’elle arrive à hauteur du nombril, je passe ma main dans le décolleté. Je m’attendais à toucher son soutien, mais il n’y a rien. Rien que sa peau. Elle a dû l’enlever avant de venir ici sans doute. Elle continue son déboutonnage alors que je lui caresse les seins, l’un après l’autre, sans toucher les bouts. La belle se trémousse un peu, et continue de défaire les boutons. Arrivée au dernier, elle tire sur les pans de son chemisier restés dans la jupe. Sa poitrine m’est complètement dévoilée. Et ma première impression au toucher était la bonne. Une poitrine comme je les aime. Pas trop grosse, pas trop menue, juste de la taille de ma main. J’attrape Marie par la taille et la retourne. Je me redresse – mes fesses se sont refroidies au ...
... contact de la faïence de la baignoire – et la pousse gentiment hors de la salle de bain. Je la guide vers ma chambre, en admirant sa silhouette, le chemisier pendouillant mollement sur son dos. Elle chaloupe sa marche plus que nécessaire. C’est une joueuse. Je lui indique ma chambre. Elle entre et brusquement… fait marche arrière ! — La fenêtre est grande ouverte, me dit-elle. Je ricane… — Et ?— Ben… je ne suis pas très présentable.— Entre, ferme la fenêtre et les rideaux, dis-je d’une voix plus ferme. Elle me regarde de travers et son sourire se fait plus coquin. Elle rentre dans la chambre, le chemisier largement ouvert, et fait ce que je viens de lui demander. Elle vient ensuite se mettre au centre de la pièce. J’allume les lampes de chevet et lui demande : — Tu aimes obéir ?— Oui, prononce-t-elle doucement.— Déshabille-toi ! Elle plante son regard dans le mien et, d’un geste lent, se met à descendre la fermeture éclair de sa jupe. Celle-ci glisse au sol avec un léger froissement. D’un geste du pied, elle s’en débarrasse. La voici maintenant vêtue d’escarpins rouges, de bas noirs et d’un chemisier. Elle n’a aucun sous-vêtement. Je ne vois pas bien à cause des bas, mais je devine son sexe presque complètement épilé. Il y a juste un peu de « garniture » au-dessus. La scène offerte est frugale. Comme je ne dis rien, elle continue son effeuillage. Le chemisier est enlevé, posément. Et va rejoindre la jupe au sol. — Retourne-toi maintenant, et écarte légèrement les jambes. Elle ...