1. Anne-Claire, inspectrice de chantier


    Datte: 09/12/2019, Catégories: fhhh, nympho, Collègues / Travail Oral préservati,

    ... mot dans un silence uniquement perturbé par le bruit des graviers écrasés sous leurs semelles. Le local est une bâtisse toute simple uniquement composée d’un rez-de-chaussée dont les quatre fenêtres sont encore obstruées par du plastique transparent. Au fur et à mesure qu’ils approchent, Anne-Claire entend le bruit croissant du moteur d’un outil électrique. Arrivés au niveau de l’entrée dont la porte est grande ouverte et laisse s’évacuer un grondement de moteur assourdissant, Miguel laisse Anne-Claire passer devant lui. La jeune femme s’arrête net, le souffle presque coupé. Elle découvre le décor qui s’offre à elle. La pièce est vide si ce n’est une table en bois située en plein milieu et au-dessus de laquelle pend une ampoule suspendue à un fil électrique. Des outils et des objets divers sont posés sur le meuble et le sol encore nu de tout revêtement : quelques tournevis, une clé à molette, des gants de manutention, un réchaud à gaz, etc. Anne-Claire a l’impression qu’une boule de laine vient de se loger brusquement dans sa gorge lorsqu’elle reconnaît les deux ouvriers qu’elle a longuement observés ce matin. Le Maghrébin est à genoux face à un mur et tient fermement un perforateur. La puissance de l’engin fait tressaillir le corps de l’homme dont l’attention est concentrée sur son travail. Le roux est face à un autre mur et manie un tournevis afin de fixer une goulotte à un des autres murs. Anne-Claire ouvre la bouche et les yeux en grand lorsqu’elle sent les deux mains de ...
    ... Miguel lui saisir les hanches et le contact du ventre chaud contre le bas de son dos. Une onde électrique se diffuse dans ses entrailles. Il la pousse délicatement afin de la faire pénétrer dans la pièce. La femme entre dans le local et sent les mains libérer ses hanches. Elle se dirige d’un pas lent et presque mécanique vers le Maghrébin et se plante à côté de lui, les bras croisés tout en écartant les jambes. Le bruit assourdissant s’arrête lorsque l’ouvrier sent une présence auprès de lui. Il pose son outil par terre et lève vivement la tête, surpris. Il déglutit et ouvre la bouche, les yeux hagards et tout en promenant son regard sur le corps de cette femme dont la jupe fendue offre le spectacle des cuisses pleines et du triangle fait du tissu de satin. Anne-Claire le domine, le regarde puis lui décoche un sourire en coin pour le rassurer. L’immigré, presque affolé et toujours accroupi, tourne son visage vers son contremaître qui hoche la tête de manière affirmative tout en souriant. — Il n’y a pas de problème Ahmed, ce n’est pas de la magie, elle ne descend pas du ciel, elle est venue toute seule, comme une grande ! dit le contremaître en rigolant. Anne-Claire se mord la lèvre inférieure et ferme les yeux lorsqu’elle sent deux paumes chaudes se refermer timidement sur ses mollets. Les deux mains remontent ensuite doucement pour atteindre les cuisses qu’elles se mettent à caresser d’un mouvement régulier et circulaire. Les doigts se referment pour saisir la peau douce et ...
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