1. Le train du plaisir


    Datte: 10/12/2019, Catégories: fh, nympho, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme ecriv_f,

    ... si belles fesses ? Pourquoi mon geste réflexe m’a amené à y poser bien à plat une de mes mains? Surprise elle tourne légèrement la tête vers moi et je prie pour qu’elle ne remarque pas la bosse qui trahit mon désir. Je sens chez cette femme un magnétisme sexuel qui est en train de me rendre fou. Elle m’excite et elle le sait. Animé d’une ardeur et d’une audace inhabituelle, je pose fermement ma deuxième main sur ses jolies fesses et l’entraîne contre la fenêtre. ELLE : Inconsciemment je suis entrée dans le registre de la séduction. Je ne parle pas de drague ouverte mais d’un simple changement de comportement. Je suis devenue plus féminine, j’ai pris soin de garder le buste bien droit pour m’asseoir, de croiser les jambes suffisamment haut pour légèrement faire tomber un pan de ma jupe portefeuille. J’ai envie de le regarder sans en avoir le courage et pour ne pas me trahir je donne l’impression d’être absorbée par le paysage qui défile, l’observe dans le reflet. Quel délice lorsque je surprends son regard sur mes jambes. La perception de son désir me donne immédiatement envie d’aller plus loin. « Pourquoi me fait-il autant d’effet ? ». Progressivement je m’arrange pour en dévoiler un peu plus, très naturellement et sans donner l’air d’y prêter attention. J’aime la connexion sensuelle qui s’installe progressivement entre nous. Je me lève pour attirer son attention, me cambre pour lui offrir une vue imprenable sur mes seins, me retourne pour déposer mon sac. Alors que ...
    ... j’imagine son regard sur mes fesses une secousse me fait légèrement perdre l’équilibre. Soudain tout s’accélère. Le temps de réaliser je me retrouve contre la fenêtre avec deux mains insolentes copieusement ouvertes sur mon derrière. Comment a-t-il fait pour se lever et se coller derrière moi avec une telle dextérité ? J’ai le sentiment que le temps s’est arrêté, d’être figée ainsi depuis une éternité sans que la situation évolue. Ses mains me brûlent et je me sens envahir par une excitation que je ne contrôle pas. Je reste à regarder les voitures de l’autoroute que nous longeons. Le corail ralentit à l’approche de la petite gare de Bonneval, il est minuit passé. Doucement je pose mes mains paumes ouvertes contre la vitre. Va-t-il comprendre mon désir, mon invitation ? LUI : Aurai-je pu imaginer une si troublante situation ? Cette femme d’une beauté indicible semble s’offrir à moi avec indécence, en équilibre précaire entre mon corps et la vitre. Des envies folles, douces, tendres et sauvages m’envahissent. Envie d’elle, intensément. Envie de sentir le désir monter jusqu’à forcer l’impudeur et l’abandon le plus total. Je veux qu’elle n’obéisse qu’à son plaisir, qu’elle se laisse aller. J’ai la délicieuse sensation que tout est soudain permis et j’entreprends, petit à petit, de l’entraîner dans mes fantasmes. ELLE : Ses mains sont encore hésitantes, va-t-il oser se montrer plus entreprenant ou se rasseoir et s’excuser ? Sans rompre le contact elles remontent le long de mon corps et ...
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