Plat principal - Histoires de Sexe

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... masturbe en les regardant. Son sexe est court mais assez gros, noueux et dégage une virilité en accord avec la stature de l’homme. Il ferme les yeux, accélère ses mouvements et son sperme jaillit pour retomber sur son ventre. Le plan suivant : il est en tenue de chantier et ferme la porte de son « algeco ». Une chambre. Trois corps nus sur un lit, deux femmes et un homme. Ils dorment. Un réveil sonne. Une des femmes arrête la sonnerie et se lève avec précautions. Elle ramasse ses affaires et va dans la salle de bain. C’est une grande brune à la peau mate, cheveux courts et une magnifique poitrine avec des grandes aréoles. Le plan suivant : elle est habillé, jean et top moulant, deux valises à la main. L’autre fille apparaît. — Tu pars déjà ?— Oui, je dois passer au club pour remplacer le patron sur le futur chantier et je dois ranger avant. Je partirai directement chez ma copine. Je te tiens au courant. Dis donc c’était bien cette nuit. Il assure. Il faut garder son tél, on ne sait jamais. Elles s’embrassent. Elle part. Un immeuble en chantier. Une table avec des plans étalés. Adrien, Sophie et Estevao les examinent. Autour d’eux des ouvriers qui se saluent et qui manifestement partent. Certains font des gestes égrillards en montrant Sophie qui, élégante, tranche dans l’ambiance. Adrien : — Bien, je pense que nous avons terminé. Cela avance bien.— Encore un point, dit Estevao. Nous devons voir le club en sous-sol. Les travaux de rénovation doivent commencer la semaine ...

... prochaine, mais le patron nous a signalé aussi des bruits bizarres. Tiens, justement voilà sa représentante. Ursillane s’avance. Tous se présentent et elle les invite à la suivre. Ils descendent par l’escalier, arrivent dans le club désert, avancent de quelques mètres. Ursillane commence : — Oui, voilà, cela fait quelques jours que l’on entend des bruits, comme des coups de massue, alors que les ouvriers ne trava… Un bruit assourdissant avec une vibration qui fait trembler le sol et les bouteilles du bar. De la poussière passe sous la porte de l’escalier. Un moment tous sont choqués, mais le silence revient. Il ne reste que la poussière. Adrien ouvre la porte de l’escalier et c’est un mur de blocs de béton et de gravats qui l’empêche d’aller plus loin. — Eh bien, on a eu chaud ! dit-il.— Je voudrais sortir, je ne me sens pas bien, annonce Sophie manifestement oppressée.— On a un problème, répond Ursillane.— Quoi ?— C’était notre seule sortie. L’ascenseur est arrêté. Les sorties de secours sont bloquées par des palettes. Le club est fermé depuis deux jours et j’ai pensé qu’elles ne serviraient pas, annonce Estevao qui se sent manifestement en faute.— Merde, les portables ne passent pas. On est bloqué. Quelqu’un va s’inquiéter pour vous ? demande Adrien. Ils doivent se rendre à l’évidence, ils sont bloqués pour tout le week-end, sauf miracle. Au moins ils ne manqueront pas de boisson avec le bar et de nourriture avec les frigos encore pleins. — C’est une impression, ou il fait chaud ...