1. Plat principal


    Datte: 10/12/2019, Catégories: grp, boitenuit, fsoumise, fdomine, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, attache, BDSM / Fétichisme baillon, occasion,

    ... ?— Oh, c’est-à-dire que la clim est arrêtée aussi.— La totale ! résume Sophie. Ursillane leur fait visiter leur domaine pour deux jours. Piste de dance, cuisine, bureau du patron avec douche attenante, toilettes. Ce n’est pas si mal pour des naufragés. Un instant, ils ont rêvé devant l’ordinateur et le téléphone. Mais non. Abonnement suspendu pendant la durée des travaux. Tous les quatre viennent manifestement de manger. Les restes d’un repas encombrent une table basse dans le club. — Oh, je me sens un peu pompette, dit Sophie, le rouge aux joues. Cela fait du bien, je suis moins oppressée. Merci Ursillane, tes cocktails sont supers et le vin du patron, quelle splendeur.— C’est vrai. Bravo. Maintenant rangeons, dit Adrien. Pour dormir, je propose que les hommes s’installent là et les femmes là-bas. Les canapés ont l’air confortable. Adrien est dans la cuisine, en boxer et il boit un grand verre d’eau. La porte s’ouvre, Sophie entre et dit : — Vous aussi avez soif ? Je ne sais pas si c’est l’alcool ou la chaleur mais je ne tenais plus. Elle avance, très à l’aise, pourtant elle aussi est en petite tenue. Petit soutien-gorge en dentelle transparente et slip tanga du plus bel effet. Elle se penche pour prendre une bouteille d’eau dans le frigo. Ses fesses à peine cachées par le slip attirent le regard appuyé d’Adrien. Elle se redresse et tout en lui faisant face boit avec avidité l’eau directement à la bouteille. Des gouttes tombent de ses lèvres et glissent entre le sillon ...
    ... des seins. Elle reprend son souffle et semble découvrir l’homme en face d’elle qui la regarde avec une lueur qu’elle connaît bien. D’ailleurs il n’y a pas que la lueur, le boxer montre une déformation inquiétante. Avec un sourire, elle pose la bouteille et dégrafe sous soutien-gorge. — Voilà, c’est mieux comme cela. Dans le même mouvement elle s’agenouille, fait glisser le short et libère la verge qui pointe. Sa main la palpe, constate que le sexe est déjà raide et regardant Adrien dans les yeux. — Ah, la vigueur de la jeunesse ! Je te plais ? Tu me trouves désirable ? Tu as envie de moi ? Ses questions n’attendent pas de réponse car elle est déjà en train de sucer le dard avec gourmandise. Ses lèvres pulpeuses, brillantes d’un rouge à lèvre vermillon, tranchent sur la peau rose du gland. Le contraste est saisissant et c’est un cercle rouge qui vient buter sur les testicules. Inutile de dire qu’Adrien apprécie. Il est en appui sur la table et fait tout pour que son dard soit facilement accessible. Quelques va-et-vient et elle le libère, brillant de salive pour le caler entre ses seins. La cravate de notaire ou, plus exotique, la branlette espagnole s’impose lorsqu’on possède une poitrine de cette qualité, ferme et souple. Elle le branle si bien qu’il se dégage pour éviter de jouir trop tôt. C’est à lui maintenant de la lutiner, le visage penché entre les cuisses. Il l’a assise sur la table et elle le guide par les mains pour le conduire là où elle veut avec le rythme parfait. ...
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