Plat principal - Histoires de Sexe

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... Bureau du patron. Estevao est assis torse nu dans le fauteuil. On entend le bruit de la douche, puis silence. Sophie entre, la serviette sur la tête en train de sécher ses cheveux. Elle découvre l’homme et cache sa nudité. — Mais qu’est-ce que vous faites là ?— J’attends pour me doucher.— Vous auriez pu attendre dans la salle. Ce n’est pas des façons.— Oh là là, ne faites pas d’histoire. Je ne vais pas vous manger. Quoique ! Vous êtes bien mignonne, bien roulée avec tout ce qu’il faut et en plus du tempérament. Et sans attendre, il enlève son short et quitte le bureau. Quelques minutes plus tard, il revient, le corps ruisselant, et la découvre qui attend. Elle attaque. — Mais qu’est-ce que vous avez dit tout à l’heure ? Pourquoi vous me parlez de tempérament ?— Ah, ma petite dame, c’était du grand art hier soir. Elle comprend. — Allons, ne faites pas la timide. C’est vrai, c’était très bien et je m’y connais. Corps parfait, expérimentée, vous l’avez vidé, le jeune architecte. Tu m’as fait bander comme un Turc.— Je ne vous permets pas. Mais il continue, toujours nu, face à elle. — C’est votre problème, vous les bourgeoises. Vous avez envie et vos maris vous délaissent. C’est comme cela que vous venez nous voir. Vous n’avez pas idée du nombre de femmes qui passent et repassent dans leur belle bagnole vers les chantiers. Certaines s’arrêtent pour venir s’encanailler et elles trouvent toujours chaussures à leurs pieds, chez nous les manuels. Ah le fantasme du Black et des ...

... Portos fait des ravages.— Je ne suis pas mariée. Alors…— Peut être. Il avance. — Mais je sais que, là, maintenant tu as envie. Il est tout prêt. Elle pourrait reculer, mais elle ne bouge pas. — Regarde, tu me fais bander. En effet son sexe est en mouvement. Il l’embrasse fougueusement. Réticente au début, elle participe maintenant. — Allez, enlève-moi tout cela. Domptée, elle s’exécute. Elle est de nouveau nue. — Allez, pompe-moi un peu le dard, que je voie. Et elle le fait. Soumise, à genoux elle le suce avec application. Il est gros mais si fort, si viril. Les poils se glissent dans sa bouche mais ils ne la gênent pas. Au contraire c’est la preuve de la nature qui s’affiche. Elle force sur ses lèvres pour le faire entrer. Le gland est, oui, enfin il est entré. — Allez suce-moi. Je vais débander si tu ne fais pas mieux. Il la défie. Mais alors ! Ce n’est pas un Portos qui va lui apprendre, à elle, comment faire une fellation. Quand elle était plus jeune, les garçons se passaient le mot. C’est vrai que cela a éloigné les maris potentiels, mais pas les vrais amants. Et… Attends… Voilà, elle le gobe en entier. Ses lèvres vont se déchirer mais elle est fière. — Bravo. Viens. Il la fait se lever et s’appuyer sur le bureau. Son sexe frotte dans son sillon. Elle l’attend. Il va glisser car elle mouille déjà, anticipant la possession. Il pousse fort. Non, pas là. Trop tard, il a ouvert le chemin du cul. Bien sûr, elle n’est plus vierge depuis longtemps par ce chemin mais d’habitude ses ...