1. Rêves ou réalité


    Datte: 14/09/2017, Catégories: f, fh, hagé, vacances, douche, revede, Oral fsodo,

    ... avec eux. Katel me propose de me faire visiter l’endroit, de me montrer ma chambre séparée de la leur par une salle d’eau commune et enfin de me mettre à mon aise pour passer ce début de soirée dans le jardin. Ce que je fais très vite afin de les rejoindre. La nuit tombe, mais il fait toujours aussi chaud, manque d’habitude certainement. La soirée s’est écoulée agréablement, autour d’un apéritif dînatoire, nous avons refait le monde. Allongée en nuisette au-dessus des draps, je ferme les yeux et pars doucement dans les bras de Morphée… Reynal Impossible de dormir, je tourne dans lit, le sommeil ne vient pas. Bon, je vais aller dans la cuisine boire un peu d’eau fraîche. Sans bruit je me lève, je ne suis qu’en caleçon, mais j’ai cette impression de sortir de la douche sans m’être essuyé. Je referme la porte de chambre et passe devant celle de Marie, un bruit attire mon attention, je colle l’oreille contre la porte et je l’entends geindre. La main sur la poignée, j’hésite à entrer, pourtant elle n’a pas l’air bien, bon, j’entrouvre la porte et passe la tête. La fenêtre est ouverte, la lune éclaire largement la petite chambre, elle est allongée sur le dos, ses yeux sont ouverts, mais restent fixes, elle se tortille sur le lit et gémit, je décide de m’approcher, ses jambes sont écartées en position de lotus, je m’aperçois que sa main droite caresse sa chatte trempée, ses doigts savent où se glisser, quelle cadence adopter pour lui procurer du plaisir. Bizarrement elle ne me voit ...
    ... pas, je ne suis qu’à quelques centimètres du lit et je suis un spectateur invisible, je ne détache pas mon regard de cette scène qui me fait beaucoup d’effet au vu de mon sexe bandant ne demandant qu’à jaillir du caleçon. Finalement ma main commence de longs va-et-vient sur ma hampe tandis que Marie continue ses adroites caresses. Je m’assois sur le bord du lit, je laisse aller ma main libre sur l’intérieur de ses cuisses et remonte doucement vers son intimité offerte, nos doigts vont en cadence puis, les siens abandonnent le terrain et me laissent libre de toute exploration. À cet instant je ne réfléchis pas, ma bouche se pose contre son sexe débordant de cyprine, elle sent si bon, je pose ma langue sur son bouton gonflé à bloc et je joue avec, tourne autour, le gobe, l’abandonne pour une bonne langue fourrée et y reviens. Marie se tortille de plaisir, gémit, s’offre à ma bouche avide, je n’en peux plus, je suis tellement excité. Elle jouit, c’est certain, alors vient ce moment où je la pénètre doucement, mes coups de reins sont de plus en plus secs, profonds, je lâche tout ce foutre en elle et n’ose plus bouger. Elle a toujours les yeux ouverts, fixes et n’a pas dit un mot. Soudain un remord, il est un peu tard, c’est vrai, je n’ai jamais trompé ma femme, jamais une entorse durant nos quarante ans de mariage. Il vaut mieux un remord qu’un regret et elle n’en saura rien puisque le seul au courant, c’est moi, Marie s’est offerte, elle est consentante et pourtant si absente. ...