Rêves ou réalité
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
f,
fh,
hagé,
vacances,
douche,
revede,
Oral
fsodo,
... puis remets tout en place. — Marie ! – claquement de doigts – Oh oh, tu es là avec moi ? Le regard que Reynald me lance est, comment dire, enfin je ne l’explique pas, pas pour le moment. Je ne lui réponds pas, je le regarde et j’ai peur de comprendre. Je me sens bizarre, vidée. Noooooon, je fantasme tout éveillée… Bravo ! moi qui viens de dire que le sexe ne m’intéresse plus. — J’ai eu une petite absence, je n’ai rien fait ou dit de choquant ?— Non, ne t’inquiète pas. Ça t’arrive souvent ? Je me mordille la lèvre, je fais toujours ça quand je suis nerveuse : — Pas la journée, mais la nuit, je pense. Souvent à la maison je retrouve le matin des objets déplacés, un yaourt mangé, je pense que je suis somnambule.— Tu as consulté, tu ne te souviens de rien à ton réveil ?— Je ne suis pas malade, un peu fatiguée certes et pour les souvenirs, néant. En même temps, me souvenir d’avoir fait le ménage ou mangé un laitage n’a rien d’excitant. Reynald Journée surprenante, couché à côté de ma femme, mes pensées vont sans cesse vers la chambre voisine, serait-ce abuser que de profiter des absences de Marie ? La réponse est évidente et surtout affirmative, je ne dois plus y penser et dormir. Le sommeil n’arrive pas, puis j’entends la douche à côté, salle d’eau mitoyenne veut dire une porte d’accès de chaque côté et si elle n’a pas fermé le verrou de la mienne, je peux glisser un œil de voyeur seulement. Je joins le geste aux paroles, la porte s’ouvre, je me glisse à l’intérieur, Marie est ...
... nue, l’eau coule sur son visage, continue sa course sur ses seins rebondis, la courbe de ses reins laisse la place à un cul que je veux à cet instant précis. En tenue d’Adam, je prends place sous le jet. L’eau est à bonne température. Je l’embrasse à pleine bouche tandis que mes mains malaxent ses fesses, mon sexe raide est plaqué contre le bas de son ventre. Ses seins durcissent, se frottant contre mon torse, je prends un mamelon dans la bouche et le mordille légèrement arrachant un gémissement de Marie. Elle lève une jambe sur ma hanche et s’empale farouchement, elle donne la cadence en attrapant mes fesses. J’aime la baiser, je vais au plus profond, elle crie. Alors je fourre ma langue dans sa bouche, il ne faut pas réveiller ma femme surtout. Je rêve de son cul, Katel ne m’a jamais accordé ce plaisir et j’ai respecté sa décision, pourtant ce n’est pas faute d’avoir louvoyé. Je me retire, et la sachant dans son espèce de transe nocturne, je suggère sans paroles, mais avec des gestes, qu’elle se penche en avant, ce qu’elle finit par faire docilement. De là, son cul m’est offert, j’écarte ses fesses et je laisse ce petit orifice me narguer. J’y passe le bout de ma langue pour l’apprivoiser, puis entreprends d’y mettre un doigt. Je bande, c’est dément. Enfin, je tente une approche, ma bite cogne, force doucement le passage et se faufile bien serrée, jusqu’à ce que mes couilles viennent en butée. C’est un délice, je ne veux pas profiter seul, je lui prends la main pour qu’elle ...