Avec son amour de jeunesse
Datte: 12/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Inceste / Tabou
... moi toute une soirée et une nuit. Et au petit matin, je te libère. — Eh bé, tu ne fais pas les choses à moitié. Mais je ne vois pas bien comment je pourrais me libérer une nuit comme ça, même parfois je suis justement de nuit. — Comment ça ? Si tu es parfois de nuit, tu as une bonne excuse… — Oui, c’est vrai, mais comme c’est Damien qui fait les comptes, il verra tout de suite sur ma fiche de paie que j’ai oublié de venir telle nuit. — Aie, donc c’est raté…Il semble abattu, ça me désole pour lui. Soudain, j’ai une illumination : — Quoique… attends, attends, la semaine d’après, Damien risque de découcher, le fameux client Dumeschery fait encore des siennes. — Je sens que je vais adorer ce Dumeschery !Je me contente de rire, alors que je ne devrais pas. Je m’apprête quand même à tromper sciemment mon mari. Arnaud n’a pas les mêmes scrupules : plaquant une main sur mon sein, il m’embrasse à nouveau, et là, je participe à ce fougueux baiser qui m’enfonce encore un peu plus dans les voies escarpées de l’adultère…By nightJe suis assez stressée, car c’est le grand jour, ou plutôt la grande nuit. Comme convenu, un taxi est venu me chercher pour me conduire directement vers un hôtel-restaurant que je ne connaissais pas. Il est vrai que nous avons roulé un certain temps pour arriver dans un hameau composé de fermes et de cet hôtel. À ma grande surprise, je constate que le parking n’est pas vide, et que diverses voitures y sont garées, et non des moindres.Damien a dû partir ce matin ...
... voir son fameux client pour au moins deux jours. Il y est parti en râlant, je le comprends, Dumeschery est franchement pénible. Mais ça arrange mes petites histoires. J’ai pris mon téléphone avec moi, afin que mon mari puisse me contacter comme il l’a fait un peu avant que je ne monte dans le taxi. Parfois, il rappelle un peu plus tard pour me souhaiter une bonne nuit.À l’accueil, on me tend une clef en fer forgé, un bel ouvrage, ma foi. Je me dirige vers la chambre, constatant qu’Arnaud ne m’a pas du tout choisi un hôtel de dernière catégorie. Entre-temps, je croise d’autres personnes, dont certaines semblent avoir un certain standing. Le couloir que je parcours respire un certain luxe cossu, ça me rappelle quelque part les maisons closes des siècles passés, d’après les films que j’ai pu voir.Décidément, Arnaud ne se moque pas de moi. La chambre est très belle, un peu surannée, mais ça en jette un maximum. Si on me la proposait comme chambre à coucher chez moi, je ne dirais certainement pas non. Cette pièce est vaste, les fenêtres sont dotées de lourdes tentures. Au mur, des tapisseries au sujet baroque-rococo. Deux portes, l’une condamnée et l’autre débouchant sur une salle de bain. Sur le vaste lit à baldaquin git une robe que je devine plutôt sexy, et dessus un petit mot :Prends donc une douche puis habille-toi. Je serai en bas à vingt heures. Tendrement A.En effet, il me reste largement le temps de prendre une douche. Mais avant, je regarde plus précisément cette robe ...