Avec son amour de jeunesse
Datte: 12/12/2019,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Inceste / Tabou
... étalée sur le grand lit. Eh bé ! C’est mettable un truc comme ça ? Une robe noire et longue, au tissu très léger, très échancrée dans le dos, idem pour les jambes sur les deux côtés et avec un décolleté pas possible, un véritable fantasme pour hommes ! Je constate qu’une paire de bas ainsi qu’un porte-jarretelles sont présents juste à côté. Par contre, quelque chose me dit qu’il va falloir que j’oublie de mettre un soutien-gorge, vu les échancrures devant comme derrière…Dans la salle de bain, sur le miroir, un autre petit mot m’attend :Une petite trousse de maquillage t’attend juste en dessous. Amoureusement A.Il pense vraiment à tout, de A à Z. Ça m’émoustille ! Jamais Damien n’aurait dans l’idée de m’offrir un rouge à lèvres, et j’ai oublié la dernière fois durant laquelle il a songé à m’offrir de la lingerie. Par contre, quand je découvre le rouge vif du lipstick, ainsi que celui du vernis, je me dis qu’Arnaud n’y va pas par le dos de la cuillère, ses fantasmes doivent être très colorés ! Cela se confirme quand je découvre dans la petite trousse un fard à paupières bleu électrique…Mais tout ceci m’excite à un point inimaginable ! J’ai plein de sensations dans le bas-ventre, ça va faire bien longtemps que ces papillons oubliaient de me rendre visite, hélas…Je m’offre une longue douche, j’adore sentir l’eau chaude dégouliner le long de mon corps !L’heure tourne, je décide de m’habiller. Je me demande si ça vaut la peine de conserver une petite culotte, d’autant que je sais ...
... très bien qu’Arnaud aura une envie folle de me consommer ! Ça tombe bien, car la réciproque est particulièrement vraie… J’ai envie de m’offrir un petit coup de folie dans ma vie.Je n’ai pas trop l’habitude d’attacher des bas à un porte-jarretelles, je n’en porte pas tous les jours, loin de là ; d’ailleurs je ne me rappelle pas en avoir beaucoup porté ces dernières années. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y parvenir. Ainsi parée, je me regarde dans la glace, c’est vrai que c’est très aguichant comme accessoire. Je comprends aisément que les hommes en soient fous, et certaines femmes aussi. Puis je revêts la robe, l’ajustant au mieux à mes formes. Enfin, je chausse mes talons aiguilles noirs comme la lingerie qu’Arnaud m’avait demandé de prendre avec moi. Me voici prête pour le grand jeu !Alors que, téléphone en main, je sors de la chambre, je tombe nez à nez avec un maître d’hôtel qui semble m’attendre devant la porte. — Veuillez me suivre, dit-il flegmatiquement.Intriguée, je le suis. Nous n’allons pas bien loin, juste quelques mètres plus loin. Il ouvre une porte, me priant d’y entrer dans un petit salon. Radieux, Arnaud m’attend, debout, au milieu de la pièce, juste à côté d’une table pour deux personnes. Le maître d’hôtel referme la porte derrière moi. — Tu es radieuse, ma Sophie, tu es tout simplement magnifique ! — Merci, merci ! C’est un salon particulier ? — Oui, rien que pour nous deux ! — Je croyais qu’on devait manger au restaurant ? — Nous sommes dans ...