1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (5)


    Datte: 13/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Raymond y vienne. J’étais pourtant bien astiquée déjà, et même enduite de foutre car une autre mec m’avais pissé sur le cul, mais je n’avais jamais introduit dans cet orifice un truc aussi large. Je le sentis passer. Raymond poussa le braquemart à fond et l’enfonça jusqu’aux couilles et il me démonta à tel point que les secousses m’empêchaient de sucer correctement. Puis il me remit sur le dos, m’écarta les jambes, me bouffa la chatte goulument et replanta son pieu dans mes chairs, entre mes deux lèvres gourmandes, en écartant à nouveau les parois de ma moule. La sodomie avait un peu calmé mes spasmes vaginaux mais la bite du gros bouc fit aussitôt son effet magique. Le charme opéra plus puissant que la première fois; mon beau-père se mit à genoux, me tira bien jusqu’à lui pour s’enfoncer au plus profond et se démena. Mon corps fut parcouru de frissons électriques, la tempête se déchaina et la jouissance déferla comme un tsunami. Mes seins roulaient sous les coups de bite quand ils n’étaient pas écrasés par une bouche avide ou des mains chapardeuses. Je délirai complètement sous cet orgasme inextinguible. Un mec s’allongea au dessus de ma tête, perpendiculairement à mon corps, bras tendus, pour planter sa queue dans ma bouche et s’y promener en d’amples va-et-vient qui me défonçaient la luette. Je faillis vomir et m’étouffer quand son sperme jaillit en d’abondantes larmes dont je dus avaler une petite dose pour ne pas m’étrangler. Quand il se retira, j’inclinai la tête pour ...
    ... recracher tout le jus en surplus ce qui donna bien des envies aux autres mâles. "A genoux, à genoux, j’vais la recouvrir de sauce". Mais Raymond ne l’entendit pas de cette oreille. "Bas les pattes bandes de bâtards. J’viens, là, j’viens..." Et il s’étendit de s tout son long sur moi, son gros ventre m’écrasant de sa masse. Et il mélangea son plaisir au mien. "ROOOOOOOO.........ooOOOOOoooooooo" Je sentis son sexe se gonfler et pulser à chaque giclée de foutre qu’il déversait en moi. Il resta bloqué un instant pendant lequel je continuai de m’agiter sous lui et savourai le contact de sa grosse masse de viande nageant dans mon trou. Puis il s’extirpa pesamment, se rapprocha de moi. "Suce" ! La demande était superflue. A l’approche du gland recouvert de liqueur, ma bouche s’était ouverte et je me délectai des dernières gouttes du précieux nectar et du nappage qui le recouvrait et dont quelques coulées précieuses s’étaient égarées dans les replis du prépuce épais. Cependant, on le devine bien, cette éjaculation n’avait point épuisé mon orgasme qui se développait en vagues successives et qui réclamait, pour l’alimenter, d’autres nœuds bien proportionnés et bien durcis. Mais, l’abondance de foute avait déclenché une envie de branle générale et je dus me mettre à genoux gueule bien ouverte. Mus, qui ne perdait pas son sang froid, exigea que je vienne me planter, à califourchon sur son dard. " Non !Pas comme ça. Dans l’autre sens. Comme ça, je pourrai te sucer les nichons quand les ...