Comment j'ai cédé...
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
collection,
photofilm,
Oral
nopéné,
ecriv_f,
... dentelle. Je n’ose pas regarder Thierry de la soirée, cependant je sens qu’à chaque fois que nos regards se croisent, je rougis et je détourne le visage. Il parle beaucoup, raconte ses multiples aventures professionnelles… Il est fascinant… inaccessible… je vis un supplice. Puis, juste avant de partir, alors que je me rafraîchis les mains dans la salle de bains, il s’approche de moi par derrière, pose ses mains sur mes bras, me fixe dans la glace au-dessus du lavabo et me dit à l’oreille : — Tu es très belle, tu m’excites. Puis il se retire sans rien dire d’autre. Mon cœur s’emballe, je sens mon sexe devenir moite, mes jambes flageolent. Je prends appui sur le lavabo pour récupérer. Pierre me voit et me demande si ça va. Je lui réponds que j’ai un peu trop bu. Il m’enlace et m’embrasse. Je l’aime. Nous rentrons. Il me fait l’amour ; je ne jouis pas – comme d’habitude. Il s’endort en me prenant dans ses bras. Je n’arrive pas à dormir, Thierry me hante, je me rappelle ses mots… Que va-t-il se passer ? J’ai peur… pas prête à ça… Deux semaines passent, les choses reprennent leur cours normal et j’en suis soulagée. Pierre part en mission à Lyon mercredi et jeudi. J’ai décidé d’en profiter pour aller au ciné le mercredi soir avec une copine. En rentrant le mercredi à 18h00, je m’aperçois que le voyant du répondeur clignote. Je décroche le combiné et j’écoute : — Laure, c’est Thierry, appelle-moi, mon numéro de portable est le 06… … Mon cœur à nouveau s’emballe. J’ai rendez-vous ...
... avec Sandrine à 20h00, je fais quoi ? Je suis perdue. Le téléphone sonne, je ne bouge pas. Le répondeur se met en route. — Allô, ma puce, tu n’es pas là ? Je décroche précipitamment. — Allo, Pierre ? On parle dix minutes. Je ne lui parle pas du message de Thierry. Il me dit qu’il m’aime, moi aussi. Son coup de fil ne m’a pas apaisée. 18h45. Je prends le combiné : — Sandrine, c’est Laure. Je suis désolée, mais j’ai une migraine pas possible. Je vais rester chez moi ce soir. Je t’embrasse. À bientôt. Puis, je compose le numéro de Thierry : — Allô, Thierry ? C’est Laure.— Je suis content que tu m’appelles. Je vais avec des amis dans une boîte latino branchée. Ça te dit de m’accompagner ?— Euh oui, d’accord.— Okay, je passe te prendre vers 23h30. Fais-toi belle. Bye. Même sa voix me rend folle. Je me fais un gommage du corps. Je prends un bain moussant. Je me lave les cheveux. Je me passe une crème hydratante sur la peau et je vais dans la chambre choisir ma tenue. Culotte brésilienne en dentelle noire, soutien-gorge assorti, Dim-up, jupe mi-longue moulante en haut et qui s’évase au niveau du genou, chemisier cintré décolleté, paire de bottes. Parfum… Lolita Lempica… Je me regarde… « bandante »… Je suis prête. 23h45. Il arrive. Toujours aussi séduisant. Une Jaguar, j’adore. On parle peu. On arrive à la boîte dans le onzième. Parking privé. On rentre. Les videurs le connaissent. Une table nous attend. Une dizaine de ses amis (hommes et femmes) sont déjà là. Il me présente : — Laure, ...