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Comment j'ai cédé...
Datte: 13/12/2019, Catégories: fh, extracon, collection, photofilm, Oral nopéné, ecriv_f,
... la femme d’un copain. Quelques rires, quelques sifflets. Je suis très gênée, je rougis, honteuse. Je pense à Pierre que j’aime, mon cœur. Thierry me fait asseoir à côté de lui. Il pose une main sur mon genou. Et me parle à l’oreille. Il m’explique ce que font ses amis… essentiellement des financiers. Je me sens un peu mal à l’aise. Un de ses amis m’invite à danser. Ambiance latino. Les autres nous suivent. Les morceaux se succèdent. Les couples tournent, je danse avec tout le monde sauf Thierry que je ne quitte pas des yeux et qui danse sans discontinuer avec une fille d’une vingtaine d’années. J’enrage… quel salaud ! Au moment où je retourne à la table, prête à rentrer en taxi, il me saisit par le poignet : — À mon tour, me dit-il avec un large sourire en me fixant droit dans les yeux. Je me laisse faire. Il m’attrape par la taille de la main droite, l’autre au milieu de mon dos. Il me serre contre lui en me fixant toujours. Il me rend folle. Je m’accroche à son cou. Le rythme s’accélère. Sa cuisse se place entre les miennes. Sa main droite descend sur mes fesses. Il me fixe toujours. Je suis comme paralysée. Je sens son sexe bandé contre mon ventre. Sa main pétrit mes fesses. J’aime. Je me frotte contre sa cuisse, contre son ventre. Je mouille. Je cache ma tête dans le creux de son épaule. Je me frotte de plus en plus fort. J’aime sa main. Je vais jouir au milieu de la piste de danse. Je sens le plaisir envahir mon ventre. J’enfonce mes ongles dans ses épaules, je ...
... mords son épaule pour ne pas crier. Je jouis. Il me prend la main et m’amène au bar. Il me commande un mojito. Sa main caresse mon visage. — Ça va ? me demande-t-il. Je hoche la tête sans répondre, je suis rouge de honte. Je n’ose plus regarder qui que ce soit. — Tu veux que je te ramène chez toi ?— Oui, s’il te plaît. Sans un mot, il me reconduit. Je regarde par la vitre tout au long du trajet. Je pense à Pierre. Il me laisse devant la porte de l’immeuble. — Fais de beaux rêves, me dit-il en m’embrassant sur la joue. Je descends sans le regarder, honteuse. J’ouvre la porte de l’appartement. Je me dirige vers la chambre. Je m’effondre sur lit en fondant en larmes. Je reste comme ça pendant une heure à pleurer. Le lendemain matin, jeudi, je suis épuisée et terrorisée par le retour de Pierre. Dois-je lui avouer ma faute ? Si je ne le fais pas, Thierry lui racontera-t-il notre aventure ? Je suis dans un tel état que je suis incapable d’aller travailler. Je téléphone au boulot pour dire que je suis malade. Je reste au lit jusqu’à midi. Pierre doit rentrer vers 17h00. Je choisis de ne rien lui dire. Je parie sur le silence de Thierry. Le soir, je suis adorable avec Pierre. Je lui prépare un petit festin. Il me fait l’amour. J’aime sa tendresse mais je ne jouis pas. Il s’endort. Moi pas. Thierry va-t-il tout lui raconter ? Le vendredi est interminable. Je rentre vers 18h30, terrorisée. Pierre est déjà là. Il étend le linge. Un bouquet de fleurs est posé sur la table. Comme tous les ...