Le chantier
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Transexuels
Pour notre troisième rendez-vous, il avait été convenu entre Philippe et moi que cela se passerait dans mon petit appartement. Le jour J, à l’heure H, la sonnerie de mon portable me fit comprendre que Monsieur était là. Je déverrouillais la porte d’entrée et indiquait l’étage. Puis j’ouvris légèrement la porte et me mis à genoux, les mains sur la tête, les yeux au sol comme il me l’avait ordonné. La porte s’ouvrit et il entra. Il resta un instant médusé, me releva et m’administra une paire de claques, alors que jamais il n’avait levé la main sur moi. Sonnée, moi qui m’étais mise sur mon 31 pour l’accueillir, robe du soir avec un dos nu et un décolleté rouge sombre, un porte-jarretelles, des bas noirs avec couture rouge et escarpins rouges, et qui avait commandé un repas chez un traiteur, je ne comprenais pas quelle erreur ou faute de goût, j’avais pu commettre. Il me prit par le poignet et tout en me demandant où était ma chambre, il m’y a entraîna de force. Il me bascula sur le lit et prit enfin la parole pour me dire : « avant toute chose, j’ai prévu quelque chose dont nous avons souvent parlé ». Interloquée, je le fixais sans comprendre. Il enchaîna : « tu as souvent manifesté le désir de te faire prendre par des blacks et des arabes à la chaîne dans une tournante, j’ai trouvé ce qu’il te fallait, nous y allons mais avant tu te changes, sale pute ». Il ouvrit mes armoires, mes placards et mes tiroirs et partit à la recherche de la tenue qu’il voulait me faire porter. ...
... Après quelques minutes, il revint et jeta sur le lit un corset de cuir noir, des bas résilles rouges et ma paire de cuissardes. Il m’aida à me déshabiller. Cela fut fait en un tour de main. Je me retrouvais nue devant lui. Il m’aida à enfiler le corset qu’il serra fort dans mon dos. J’en perdis deux tailles. Quand j’eus enfilé mes bas et chaussée mes cuissardes, il me dit : « ta tenue n’est pas complète ». Je n’osai imaginer où il voulait en venir. Je fus rapidement renseignée. Il passa à mon cou un large collier d’acier avant que de bloquer mes poignets, dans mon dos, avec d’autres bracelets. Il s’absenta quelques instants, le temps d’aller chercher dans un sac qu’il avait apporté avec lui, un magnifique rosebud. Il me bascula en avant sur le lit, m’obligea à écarter mes jambes et sans autre forme de procès, m’introduisit l’objet dans mon trou de salope. Alors que je pensais qu’il en avait terminé, il prit une cage de chasteté et y enferma mon clito. Il fit le tour et contempla son œuvre, sa créature. Il s’estima satisfait. A l’anneau du collier, il fixa une laisse et c’est ainsi que je quittais mon appartement sans savoir où il me conduisait. Au moment de sortir de l’immeuble, il regarda dans la rue pour s’assurer que personne ne nous verrait. Il m’entraîna vers une camionnette que je ne lui connaissais pas. Il en ouvrit les portes arrière et là, je découvris une cage. Dans ma bouche il plaça un bâillon enforme de gode. Muselée, entravée, je fus obligée d’y entrer. Il monta et ...