1. Le chantier


    Datte: 13/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Transexuels

    ... referma les portes. Il s’installa au volant et nous partîmes vers ce lieu inconnu. Le trajet dura longtemps. Je compris que nous étions arrivés quand il coupa le moteur. A l’ouverture des portes de la camionnette, un attroupement s’était formé, constitué d’une quinzaine d’hommes. Monsieur s’adressa alors à l’un d’eux, qu’il semblait connaître, en lui disant : « comme convenu, je vous livre la pute que vous m’avez demandé pour satisfaire vos envies ». Je réalisai à cet instant que la pute c’était moi et que j’allai devoir les satisfaire jusqu’à épuisement. Monsieur attrapa la laisse, me fit descendre de la camionnette et me conduisis vers un baraquement qui était leur dortoir. A peine entrée, je sentis des mains qui commencèrent à me palper, à me caresser, à me pincer. Pour ne pas déplaire à Monsieur, je les laissais faire. De toute manière, je ne pouvais me défendre ni protester puisque j’étais toujours menottée et bâillonnée. Je fus projetée sur un lit. Mes poignets furent ramenés devant moi mais attachés à un des barreaux, tandis que mes chevilles subissaient le même sort aux montants du lit. Monsieur me retira le rosebud, laissant apparaître devant tous ces hommes, dont certains avaient commencé à se masturber, ma chatte bien ouverte. Je fus rapidement saillie par ces mâles en rut, car en manque de femelles depuis plusieurs mois. Je fus ainsi prise par mes deux trous mis à leur disposition, tantôt par la bouche, tantôt par le cul, et même souvent en sandwich par deux ...
    ... hommes. J’eus quelques tentatives d’érection qui furent rapidement ruinées par la cage. A plusieurs reprises, je fus changée de position. Tous ne se privaient pas de me traiter de tous les noms. Je fus ainsi nommée de pute, de traînée, de salope, de catin, de putain, de chienne, de garage à bites. Quelque part, si je me sentais avilie par ces hommes, je n’en laissais rien paraître aux yeux de Monsieur, qui était installé un peu en retrait. Au cours de cette mise à disposition, je fus remplie de sperme et arrosée de pisse. Vint le moment de me libérée de ce lit. Celui qui était l’organisateur de cette tournante et qui avait du en parler avec Monsieur précédemment, me prit par la laisse et m’entraîna vers une table dans ce qui servait de réfectoire. Ma libération ne fut que provisoire car il me positionna sur la table, sur le dos, mes membres furent rattachés aux pieds de la table. S’adressant à Monsieur, il lui dit : « avant que de vous restituer votre chose, nous allons lui offrir une douche ». La tête penchée en arrière, je vis arriver une personne que je n’avais pas encore vue. Il s’agissait d’une jeune fille. Elle tenait à la main un seau. Elle se plaça sur le côté de la table, leva le saut à hauteur de ses épaules et le renversa sur moi. A l’odeur, je compris très vite que je venais d’être rincée à la pisse. C’est ainsi que parfumée au sperme et à la pisse, je fus autorisée à regagner la camionnette.Sur le chemin du retour, Monsieur s’adressa, enfin, à moi et me demanda ce que ...