Au bois
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
copains,
grossexe,
groscul,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
fouetfesse,
nature,
... du regard, s’en caresse amoureusement les joues puis la happe à nouveau, s’enfonce encore un peu plus, en ressort et la fait coulisser jusqu’au bord de ses lèvres mouillées dans un bruit de succion gourmande. Pour mieux la voir à l’œuvre, il ramène ses cheveux en arrière. Comme elle a faim, la salope ! C’est une suceuse goulue, une pompe à bite insatiable ! Elle l’avale presque entièrement. Sa bouche est devenue sexe, défiant les lois de la respiration. — Assieds-toi. Il en profite pour enlever son treillis. À moitié allongée sur lui, le cul en offrande, elle continue à le sucer et à le branler avec avidité puis elle détourne la tête. D’un geste incertain elle me fait signe de venir derrière elle. Que puis-je faire pour elle, si occupée à sa tâche ? Elle prend ma main et m’invite à caresser son con. Je la branle un peu mais très vite elle reprend ma main et la glisse plus haut, entre ses fesses. Je vois où elle veut en venir. Je lubrifie mon doigt avec son jus et introduis l’extrémité dans sa rondelle. C’est étroit et chaud. Elle a arrêté de le sucer pour mieux appréhender la pénétration digitale. Elle empoigne le dard du mec comme un mât de sauvetage et attend, tel un animal piégé. J’enfonce très doucement mon doigt dans son trou, le fais aussitôt ressortir pour le détendre puis l’enfonce à nouveau. En même temps, j’élargis un peu sa rondelle par une petite rotation. Elle n’a aucun mouvement de douleur. Le terrain me semble bien préparé. Je l’humecte à nouveau et poursuis ...
... mon invasion rectale. Mon doigt est maintenant enfoncé aux trois quarts. Elle pousse pour qu’il pénètre complètement. J’introduis un deuxième doigt et je réitère la manœuvre. Son trou s’est élargi, il a passé avec succès l’épreuve de l’admissibilité. Veut-elle que je l’encule ? Non, pas maintenant en tout cas… Elle rampe sur son comparse et le chevauche. Elle veut s’empaler sur le braquemart géant. Elle s’enfonce sur le gland avec précaution. Il est tellement bien monté, le bougre ! Méthodiquement, elle remonte un peu pour redescendre un peu plus en un lent va-et-vient. Elle veut se baiser complètement. La voici arrivée au bout. Elle adresse un petit sourire de victoire au queutard et reprend son mouvement pour terminer de rôder la machine. L’impétrant, au départ encombrant, se love confortablement dans sa moule et devient un hôte impérial. Maintenant qu’elle l’a apprivoisé, il est à elle. Elle veut le manger de tout son ventre, dans toute sa longueur et toute son épaisseur. À califourchon sur la bête, elle entame une danse du ventre envoûtante. La tête droite, les seins dressés, elle s’imprègne de cette invasion abondante en un mouvement vertical souple et incessant. Elle coulisse sur le pal, remonte jusqu’au prépuce puis redescend, s’y assoit complètement et s’élargit en ondulant d’avant en arrière puis en mouvements circulaires. Il a empoigné ses hanches et se met à claquer ses fesses de ses mains rugueuses. Elle aime cette punition sonore et tactile qui lui brûle le cul et ...