Mon weekend chez Monica (3)
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Il allait être bientôt dix heures, le soir. Monica décida qu’il était temps de me renvoyer chez moi. Mais elle me força d’abord à remettre le corset que j’avais porté la veille. J’en fus horrifiée. - « Allez ! Sois raisonnable, Claudia. Sans ce corset, t’auras pas la taille qu’il faut pour porter les belles choses que j’ai préparées pour toi. Laisse-toi faire. Et puis, je te l’ai dit, on s’habitue à ça, quand on le porte tous les jours. Et bientôt, tu ne pourras plus t’en passer ! » Et alors, sans me laisser le temps de réagir vraiment, elle tira très fort sur les lacets. Docilement, je vidai mes poumons de tout leur air, rentrai mon ventre autant qu’il me l’était possible, ce qui lui permit de refermer complètement l’étau, retranchant dix bons centimètres à ma taille comprimée. Elle prit ensuite de petits anneaux de métal sur une table basse, les glissa dans les œillets du corset et scella ainsi la chose de telle sorte qu’il m’était désormais impossible de l’enlever par moi-même. « Voilà ! Te voilà prisonnière de ce corset, ma petite. À moins que tu trouves quelqu’un qui accepte de t’en libérer ! Mais là, tu auras à fournir des explications, et tu vas voir que ça peut devenir gênant. Et puis, quand on va se revoir, toi et moi, je veux te retrouver exactement dans cet état. Alors si t’enlèves ton corset, faudra aussi trouver quelqu’un pour te le remettre ensuite. Avec les anneaux. » « Et si tu prends une douche, faudra pas t’en faire. Le tissu supporte bien l’eau. Mais ...
... faudra compter un peu plus de temps pour le séchage, hein, ma petite ? Si tu t’essuies bien, une heure ou deux devraient suffire ! » - « Comment je vais faire pour respirer, madame ? Pour manger ? » - « Pour respirer, on s’y fait. Rappelle-toi ta soirée d’hier. Puis tu t’habitueras à ne pas t’essouffler, à ne pas faire trop d’efforts, à être plus féminine, en somme ! Quant à la bouffe, ça ne te fera pas de tort de manger un peu moins. Mais le truc, ici, c’est de prendre plusieurs petits repas, jamais plus que quelques bouchées à la fois. C’est pour ça qu’on disait des femmes du XVIIIe siècle qu’elles n’avaient qu’un appétit d’oiseau. Mais c’est comme ça qu’on obtient une taille fine ! » Elle me prêta une camisole soyeuse, de couleur noire, et les culottes assorties, changea mes bas, me fit remettre les souliers. Elle me tendit une jupe courte mais confortable en tissus extensible noir, un chemisier blanc de tissus lustré, délicieusement doux à porter, et un tantinet translucide, pour laisser apparaître le dessin de la camisole en dessous. Elle me tendit une sacoche. Une trousse de maquillage. Quelques accessoires. « Tu en connais beaucoup de putes qui, pour quelques baises, passent un week-end complet logées et nourries, et repartent avec une garde-robe complète de nouvelles fringues ? T’es gâtée, Claudia. Mais cette semaine, il faudra bien que tu fasses ta part et que tu t’achètes quelques robes, quelques jupes, quelques dessous. Tu dois bien avoir un peu de fric à toi, non ? » - ...