La sorcière Althéa (3)
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
Hétéro
... sois une bite sur patte. C’est réussi, je ne pense désormais plus qu’à te baiser ! Elle a beau se plaindre, elle pourrait me tuer en un clin d’œil si elle le voulait, le fait qu’elle se laisse faire me prouve son approbation. Je la lime violemment en la tenant par les hanches. Mon dieu, ses courbes, son odeur, sa chaleur, tout en elle me rend dingue. Je veux en faire ma femelle et être son mâle. — Alors, tu veux que je m’arrête ? — Non ! répond-elle. — Tu aimes ça ? — Oui ! — Tu en veux encore ? — Oui ! Prends-moi ! Salaud ! C’est vrai que j’en suis un, je prends un malin plaisir à la souiller et la malmener, elle qui a pour habitude de malmener les autres. Je sors de son vagin pour m’enfoncer dans son cul. — Aaah ! Oui ! crie-t-elle. Encule-moi, enfoiré ! Je raffole de son petit trou, depuis qu’elle m’y a fait gouter, j’en suis devenu accro. Mon bassin remue comme s’il était animé d’une volonté propre. Je la tire par les cheveux pour la forcer à me regarder pendant que je la saillis. Elle est belle, cela me fait bander encore plus. Moi qui pensais qu’une femme passée trente ans était périmée, je ne pourrais plus jamais retourner avec une fille de mon âge. En réalité, je ne serais plus capable d’être avec une autre fille tout court. C’est elle ou c’est personne. Je suis l’esclave de son corps, tel un drogué qui dépérirait s’il devait s’éloigner de la source de son addiction. — Ah ! Oui ! Salaud ! Salaud ! geint-elle. Je la retourne violemment, dos à la vitre, puis l’attrape ...
... par les cuisses pour la porter à bout de bras. Mon sexe retrouve facilement le chemin de sa grotte humide comme s’il s’agissait de son terrier. Je suis comme une bête en rut qui a besoin de violer la première chose qui ressemble à une femme pour se soulager, et elle est comme le chaperon rouge qui s’offre au grand-méchant loup. Elle ne veut pas faire l’amour avec un homme, elle veut se faire agresser par une bête. Je grogne à chacun de mes assauts en lui mordant le cou, elle en soupire bruyamment de plaisir. Je veux la faire jouir, comme si en être capable me donnait du pouvoir sur elle. Ses seins sont pressés sur mon torse, je voudrais tant les voir et jouer avec. — Aaaaaah ! Ça y est, elle est prise d’un orgasme. Mon but est atteint, mais la partie est loin d’être terminée. Je lui donne encore quelques coups avant de me figer en elle afin qu’elle puisse profiter du moment. Lorsque j’estime qu’elle s’est assez reposée, je la laisse retomber sur ses pieds et lui ordonne : — Suce-moi, salope ! Apparemment, ma vulgarité ne la dérange pas, car elle s’agenouille et me prend dans sa bouche. — Hmm, la belle bite de mon animal, me complimente-t-elle. Il a aimé mon vagin, le pauvre toutou ? Je grogne en guise d’acquiescement. — Hmm, c’est un beau jouet, il me donne tant de plaisir, il faut en prendre soin. Laisse-peux moi te remercier à ma façon. Elle me pompe comme une chienne et me fait plusieurs gorges profondes, je n’en peux plus. Je me résigne à me laisser me décharger dans un ...