1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°847)


    Datte: 18/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sourire espiègle de deviner qui se cachait derrière le masque. Mes frère et sœurs de soumission se prosternèrent devant Lui en triangle autour de la desserte. Après des caresses tendres à chacun, Il les envoya en attente derrière Lui, et Il put souffler Ses bougies, sur les bravos et les applaudissements de Ses convives… Avant d’enlever mon masque, le Marquis remercia les personnes présentes mais aussi Walter et Marie pour le travail effectué. Puis Il plongea Ses yeux dans les miens à travers le masque, Il eut l’air surpris, voir dubitatif, puis Il se décida à soulever la tête de chien qui me recouvrait. Un sourire tendre et radieux illumina Son visage. On aurait cru un enfant aux grands yeux ouverts devant sa surprise ! J’étais heureuse d’être venue, j’aurai donné n’importe quoi pour voir l’expression de pur bonheur sur Son visage à ce moment-là ! - Que voilà une chienne bien appétissante, dit le Châtelain à voix haute. Que tout le monde soit servi de ce merveilleux dessert concocté par Marie que je félicite encore. Nul doute qu’il ravira nos papilles et plus encore par la suite ! Effectivement une fois tout le monde servi, de nombreux Dominants et Dominantes, vinrent me lécher, mais aussi se faire lécher, sucer. J’essayais de satisfaire toute personne qui se présentait devant moi. Mais je ne voyais pas approcher la seule personne qui comptait pour moi. Il allait de personne en personne, saluait, discutait, verre de champagne en main. Il s’occupait tour à tour de mon frère ...
    ... ou de mes sœurs, les caressant, les pénétrant, les faisant jouir, et se vidant en eux. Mais il ne s’approchait pas de moi. Je me sentais frustrée et en même temps terriblement excitée par l’attente. Je savais que je devais passer la nuit à Ses côtés. Mais il ne prenait même pas le temps de me jeter un regard. Avais-je mal interprété Son regard ? N’était-Il pas heureux que je sois Son cadeau cette année ?... Je restais à la disposition des Invités pendant tout le début d’après-midi, pendant que le café était servi. Je me sentais sale, de gâteau, de sécrétions féminines, de sperme… terriblement frustrée d’avoir été prise par tous mes trous de chienne sans avoir eu une seule fois le droit de jouir. Enfin les convives se dispersèrent et alors que je vis le Maître sortir de la pièce les laisses de mes frère et sœurs en main, certainement pour une après-midi torridement D/s. Je fus emmenée par d’autres esclaves afin d’être nettoyée. Et on m’envoya au Grand Chenil, jusqu’après le repas du soir. N’ayant rien d’autre à faire, je me reposais. Après la longue route et la matinée chargée, j’étais épuisée et j’accueillais ce repos avec plaisir, même si ma frustration ne me laissait pas tranquille ! J’aurais voulu pouvoir me caresser, mais je savais que je n’y étais pas autorisée… Assez tard, à la vue de la nuit qui était tombée, (bien qu’étant bien avancé en automne et après le changement d’heure, la nuit était présente désormais tôt !) j’entendis des bruits de pas approcher. Je me mis ...