1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°847)


    Datte: 18/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... donc en position standard et attendait. Je ne voyais pas l’entrée du chenil, ne me permettant donc pas de savoir qui arrivait. - Ma petite chienne adorable ! Quelle surprise ça a été de te voir en Ma Demeure aujourd’hui ! Une bonne surprise ! Suis-moi ! Je ne veux pas passer ma soirée et ma nuit d’anniversaire tout seul. Et il saisit ma laisse pour m’entraîner vers Sa chambre. Lorsque nous y fûmes, le Maître exigea que je le dévêtisse. - C’est mon anniversaire, mais je vais te laisser éteindre ma bougie, petite chienne ! Je m’agenouillais donc devant Son noble membre dressé et déjà bien épais. Je commençais par lécher, palper Ses couilles, ma langue remonta le long de Sa verge, je tétais son gland violacé. Le Marquis me laissait faire, un sourire aux lèvres. Puis, je le pris enfin en bouche, doucement, plus je faisais de vas et viens, et plus je l’enfonçais profondément en bouche, jusqu’à l’avoir enfoncé le plus profondément possible. À ce moment-là, Il ne me laissa pas me retirer, Il bloqua ma tête, restant au fond de ma gorge à m‘en étouffer ! Puis reprenant entièrement les rennes, Il m’intima l’ordre de ne pas bouger et me baisa la bouche jusqu’à lâcher Son sperme chaud et épais au fond de ma gorge. - Lèche-moi bien, ma petite chienne ! Nettoie-moi bien ! Et sous mes nouveaux coups de langues le noble sexe se débarrassa des dernières sécrétions et commença à reprendre de la vigueur. Le Maître me fit grimper sur le lit et m’attacha écartelée aux quatre montants. Il me ...
    ... banda les yeux, me mit un bandeau. Il commença à me caresser avec la douceur d’une plume, me chatouillant, me faisant frémir. Puis Sa langue prit la suite, titillant mes tétons, les mordillant, puis descendant vers mon sexe trempé. Mon clitoris reçut le même traitement que mes tétons ! Il me léchait, me mordillait, me fourrageais…. Je me débattais dans mes liens, sous les décharges électriques qu’Il me provoquait. Les vagues de plaisir se faisaient de plus en plus présentes, je contenais difficilement mon orgasme. Le Maître releva la tête, juste le temps de dire « jouissances autorisées à volonté ma chienne ! » et Il reprit son savant cunnilingus. Je ne tardais pas à hurler ma jouissance, longuement !... Je passais des moments magiques en Sa compagnie. Tous mes orifices furent utilisés, par Lui-même, par différents accessoires, godes, plug, pinces, manches de fouet, cravache. Lorsqu’au petit matin, nous nous arrêtâmes de forniquer, le Maître me prit dans Ses bras longuement, tendrement. - Aller ma chienne, maintenant au panier, coucher ! Et je descendis du lit, me dirigeant avec bonheur au pied du lit et me couchait dans la panière qui y était installée. Je l’endormis épuisée, mais heureuse, sereine et épanouie. Peu de temps après m’être endormie, il me sembla sentir Sa main me caressant doucement la joue et déposant de nombreux baisers légers. La courte nuit, ou plutôt le début de journée, se passa sans qu’Il ne me réveille, fatigué sans doute Lui aussi par Sa journée de la ...