1. Un récit qui dérange


    Datte: 18/12/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, exercice,

    ... la bouche de Lise. Ma salope de femme accepte le sperme de son amant. Sans grimace. Sans dégoût au moins affiché. Elle attend patiemment que John ait terminé. La main qui branlait la queue semble traire les dernières gouttes. On dirait une professionnelle de la bite, une pompeuse expérimentée. Je m’attends à ce qu’elle libère la crème et la laisser couler sur la queue qui l’a fournie. Mais non. Elle libère le gland. Ses lèvres se referment sur sa cueillette. Elle se redresse. John croit sûrement que c’est lui qu’elle regarde au moment où elle avale son foutre, mais en réalité, au-delà de sa tête, c’est vers l’ombre d’une porte. C’est moi qu’elle défie du regard par ce geste obscène. Mais je n’ai plus qu’une pensée : « Petite, je vais t’en donner des litres qu’il te faudra boire ! » John est un gars qui sait vivre, et pas égoïste pour un sou. Il attrape ma femme et la couche sur le canapé. C’est maintenant à lui de s’occuper d’elle. C’est lui dont la tête disparaît entre les cuisses de Lise. Il s’active un long moment avant qu’elle se laisse vraiment aller. Les cuisses s’ouvrent un peu plus. Elle n’hésite plus à le guider en poussant sa tête au bon endroit. Je crois que les petits cris qu’elle pousse me remuent les tripes encore plus que de la voir jouir sous les caresses de son amant. L’amant rebande déjà, et en se redressant attrape une capote sortie de nulle part pour se la dérouler sur la verge, montrant tour après tour combien sa queue est imposante. Il est devant Lise ...
    ... qui doit regarder la chose. Les cuisses ouvertes laissent assez de place pour que John s’installe et se positionne. En deux poussées, la queue envahit la grotte dégoulinante. Lise n’a pas le temps de respirer que déjà John commence à la baratter. C’est à cet instant que je réalise vraiment que je suis cocu. Avant, ce n’étaient que des caresses, même si la fellation peut être reconnue comme un acte sexuel. Mais maintenant Lise est prise, possédée, enfilée ; et il y a tant d’autres mots pour décrire cet acte… Et petit à petit, comme s’il lui fallait un moment pour vraiment réaliser ce qui se passe, elle devient la partenaire active de ce grand gaillard qui se défonce en elle. Je pense qu’elle a oublié que je suis présent, cocu et voyeur dans l’entrebâillement de la porte. Non seulement elle se laisse emporter par son amant et sa fougue, mais aussi elle le désarçonne pour venir le chevaucher et se baiser sur la queue tendue. C’est un combat des corps. Même les odeurs se joignent à leurs gémissements pour arriver jusqu’à moi. Ces odeurs si fortes, exhalées par des peaux pourtant parfumées. Odeurs de sexe et de transpiration. Bruit des peaux qui claquent. Chuintements des liquides intimes que la queue brasse avec force. La bataille continue. C’est à celui qui prendra la commande, guidera l’autre à son rythme vers la jouissance qui pointe. D’une ruade et par des bras puissants, Lise se retrouve à genoux sur le canapé, en appui sur le dossier alors que John la baise maintenant en ...