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Un récit qui dérange
Datte: 18/12/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, exercice,
... levrette. C’est une position qui va bien à mon état. La vengeance est totale. Ma "salope" de femme me fait payer bien lourdement un instant de faiblesse. C’est une "chienne" qui se fait prendre par son amant. Un amant que j’ai fourni. Je ne serais même pas surpris qu’elle lui cède son petit trou, ajoutant l’injure suprême. Non. Finalement, ils jouissent. Ma jambe me fait mal de tout ce temps de surveillance. Il ne manquerait plus que la cicatrisation se fasse mal et que je reste invalide. C’est mon état d’esprit alors que je retourne dans la chambre pour m’allonger. Quelques minutes plus tard, Lise entre dans la chambre. À mon visage, elle comprend que je ne suis pas bien. — Ça ne va pas ? demande-t-elle, inquiète.— Si, si ! dis-je, prenant sur moi pour ne pas montrer ma faiblesse.— Je crois que je suis allée trop loin. Je n’imaginais pas que tu pourrais souffrir. Je croyais que c’est ce que tu souhaitais. Voir. Comme dans ton récit. Excuse-moi, mon chéri. Et elle vient s’asseoir à côté de moi, pour pencher sa tête contre ma poitrine. — Je ne sais pas. Je ne sais plus.— Mais tu es aussi fautif. Avoir choisi ce gars. Reconnais que c’était difficile de résister. D’ailleurs je trouve que c’est très fair-play de ta part.— Donc, c’est d’accord. Chacun sa faute. Chacun pardonne et on n’en parle plus.— Mais oui. J’ajoute « On est quitte » comme pour me persuader que tout est terminé. Mais Lise bondit du lit. — Pas tout à fait. Ne bouge pas, je reviens. « Merde, qu’est ce qu’elle ...
... va avoir inventé ? Peut-être que John attend dans le salon pour une suite… » À peine une minute plus tard, elle revient. En entrant elle coupe la lampe du plafond. Ne reste plus que la faible chambre de chevet. C’est juste à quelques pas que je découvre vraiment ce qu’elle a fait. Des lunettes qui lui mangent le visage. Une chevelure de blonde qui descend sur ses épaules et plus bas. — Tu avais raison. On croirait ma sœur. Tu ne trouves pas ?— Mais, Lise… À quoi bon m’expliquer ? À quoi bon expliquer à ma femme que pour mon texte j’ai utilisé ce qui m’entourait et que sa sœur ne me fait pas bander ? C’était juste un prétexte pour créer une histoire qui sorte un peu de l’ordinaire. — C’est vrai. Elle s’approche plus près. Sa main se tend vers le short qui me sert de pantalon pendant toutes ces journées où je tourne en rond. — Nous ne sommes pas quittes, non ; c’est parce que j’ai pris un peu d’avance. Elle tire sur le tissu. Par réflexe, je soulève les fesses et je me retrouve le sexe à l’air. Elle se penche vers moi, ses lèvres tout contre mon oreille, et pendant que sa main me caresse la queue elle dit : — Mais je vais t’aider à me rattraper. Alors nous serons quittes. Je vais te sucer jusqu’à ce que tu jouisses dans la gorge de ta petite femme. Et alors qu’elle descend pour aller emboucher ma queue qui s’est dressée en un éclair, elle ajoute : — Pour la sodomie, on va attendre que tu puisses te tenir debout. J’imagine que tu préfères mener la danse ; et aussi, cela va me ...